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Termes
traités dans ce mémoire

Le changement climatique
Français,anglais,finnois

Susanne Klami

Maitrise LEA - 2006 / 2007 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker


Sommaire

Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire

Bibliographie


Remerciements

Notre projet de la constitution du glossaire trilingue français anglais finnois en matière de la science du changement climatique étant né depuis plusieurs années lors de notre expérience professionnelle, je tiens à remercier les personnes sans qui ce mémoire naurait pas pu se réaliser. Tout dabord, un grand merci au Professeur Loïc Depecker de mavoir transmis des connaissances terminologiques qui mont permis de donner la forme concrète à cette étude.
Je souhaiterais exprimer ma profonde gratitude envers M. Alain Dordé, qui a accepté de réviser ce mémoire et ma aidé à mieux comprendre des termes scientifiques, leur trouver des définitions justes et la traduction appropriée. Un grand merci pour sa disponibilité et ses conseils.
Je remercie mon ancien employeur pendant de nombreuses années, lOffice des Publications Officielles de la Commission Européenne de Luxembourg, section Journal Officiel sous la direction de Madame Lucia Ceccarelli, à qui je dois également mes connaissances en changements climatiques. Un grand merci à tous mes anciens collègues à ce service, ainsi quà mes autres employeurs et collègues, dont particulièrement M. Yves Storper de la Société de Traductions Techniques, ainsi quà mes employeurs américains pour qui jai effectué des traduction en matière dénergie depuis de nombreuses années ; de ce travail ainsi que des connaissances acquis est né le goût des recherches dans le domaine dénergies renouvelables et changements climatiques. Je remercie en particulier M. Thomas Hahn de la Société PFC Energy.


Validateur :

Alain DORDÉ
Secrétaire fédéral des Amis de la Terre France


INTRODUCTION

INTRODUCTION GÉNÉRALE 

Le présent travail a été réalisé dans le cadre de la préparation au module « Terminologie » en vue de l'obtention du Master 1 Langues étrangères appliquées : traduction spécialisée, ce module ayant pour but « l'initiation à la théorie et à la pratique de terminologie et terminographie ainsi quà lélaboration des catégories de données et application », l'étude des relations entre les concepts et la constitution dun glossaire plurilingue.
Le sujet de ce mémoire, la science du changement climatique, pourrait également sintituler les changements climatiques. Il sagit de traiter la terminologie du plus grand et grave défi actuel de lhumanité. La Science du changement climatique désigne l'étude des changements climatiques, terme souvent utilisé au pluriel pour montrer que le changement du climat se manifeste comme des changements des climats. Les origines de cette science remontent à la fin du 19e siècle, lorsque l'hypothèse d'un lien entre la température moyenne du globe et le taux de gaz carbonique dans l'atmosphère a été formulée pour la première fois en 1894 par le suédois Svante Arrhenius. En 1979, lors de la première conférence mondiale sur le climat, est avancée pour la première fois sur la scène internationale l'éventualité dun impact de l'activité humaine sur le climat. L'adhésion assez massive de certains scientifiques à cette cause est récente, mais une controverse existe dans ce milieu quant aux causes de ce réchauffement. Des climatologues soutiennent en effet que le réchauffement observé n'est que la conséquence de phénomènes naturels. Cette position est cependant fortement minoritaire parmi les climatologues.

Ce mémoire est le fruit de mon expérience professionnelle en tant que traductrice, interprète technique et correctrice au sein de différents employeurs, dont lOffice des Publications Officielles de la Commission Européenne, la Société de Traductions Techniques, PFC Energy, la Société Sofinn/ Raute Oy (Finlande), entre autres. En traduisant et en corrigeant des textes scientifiques, tout dabord en matière dénergie, je me suis retrouvée devant lomniprésence des changements climatiques et leur importance, lurgence du choix et du développement des énergies renouvelables ainsi que la difficulté davoir des informations sures et claires en matière de changements climatiques. La plus grande partie de documents est en anglais, le nombre de documents disponibles en français et en finnois étant relativement limité.
L'absence des données terminologiques bilingues, voir trilingues, incluant la langue finnoise était une malheureuse réalité qui ma dabord étonnée, puis intriqué. Était-il possible quun sujet de cette envergure ne fût pas étudié au point de vue terminologique, alors que les changements climatiques dorigine anthropique avaient déjà modifié notre planète jusquà un point de non-retour ? La température moyenne sur terre a augmenté de 0,6 degrés depuis la fin des années 1800. On sattend à ce quelle continue d'augmenter de 1,4 à 5,8 degrés C dici à lan 2100 -- ce qui constitue un rapide et profond changement. Même si la prédiction minimale venait à se produire, elle serait supérieure à toute autre tendance sur 100 ans au cours des 10 000 dernières années. Les principales raisons de cette montée de température sont un siècle et demi dindustrialisation avec: la combustion de quantités de plus en plus élevées de pétrole, dessence et de charbon, la coupe des forêts ainsi que certaines méthodes agricoles. Ces activités ont augmenté les quantités de "gaz à effet de serre" dans latmosphère, en particulier le dioxyde de carbone, le méthane et loxyde nitreux. Ces gaz sont naturellement présents dans latmosphère et sont essentiels à la vie sur terre; ils empêchent une partie de la chaleur solaire de retourner dans lespace et, sans eux la terre serait un endroit froid et aride. Mais en quantités toujours croissantes, ces gaz sont en train de pousser la température globale à des sommets artificiellement élevés qui altèrent le climat.
La tendance actuelle du réchauffement est prévue pour causer des extinctions d'espèces. Les êtres humains vont probablement faire face à des difficultés de plus en plus grandes face aux « événements météorologiques extrêmes » dont nous entendons parler quotidiennement par les médias.
Il y a plus dune décade, la plupart des pays se sont joints à un traité international -- la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques -- en vue de commencer à considérer ce qui pouvait être fait pour réduire le réchauffement climatique et faire face à toute hausse inévitable des températures. En 1997, les gouvernements se sont mis daccord pour faire un ajout à ce traité, appelé le Protocole de Kyoto, lequel contient des mesures plus fortes (légalement contraignantes). Et, depuis 1988, un Groupe intergouvernemental sur lévolution du climat (GIEC) passe en revue la recherche scientifique et fournit aux gouvernements des résumés et des conseils sur les problèmes de climat. Il se compose de plus de 600 climatologues provenant de tous les pays et les rapports et résumés sont validés par les gouvernements de tous les pays.
Les causes du réchauffement sont attribuables essentiellement à l'activité humaine et en particulier à ses émissions de gaz à effet de serre. Le rapport AR4 de février 2007 du GIEC indique que les effets comportent entre autre une augmentation des sécheresses, pluies torrentielles, élévation du niveau des océans, canicules et cyclones violents. Le CO2 émis aujourd'hui par l'homme contribuera au réchauffement pendant plus d'un millénaire. La concentration atmosphérique du CO2 en 2005 dépassait de loin les valeurs naturelles des derniers 650 000 ans, de même pour la concentration du méthane. Les experts mondiaux ont renforcé leur conviction que l'homme est responsable de "l'essentiel de l'accroissement observé sur la température moyenne globale depuis le milieu du 20e siècle". Ils affectent à cet impact humain sur le climat une certitude de 90%, contre 66% dans leur dernier rapport en 2001.
Le rapport du GIEC en 2001 était un appel à se réveiller et ce nouveau rapport est une « sirène d'alarme ». Les experts jugent "très probable que les chaleurs extrêmes, les vagues de chaleur et les évènements de fortes précipitations continueront de devenir plus fréquents".
Il est "vraisemblable" que les cyclones tropicaux futurs, ainsi que les typhons et ouragans, deviendront plus intenses, avec des vents plus forts et des précipitations plus fortes.
Le niveau des mers devrait s'élever entre 18 et 59 centimètres d'ici la fin du siècle, poursuit le rapport. Deux phénomènes peuvent engendrer cette élévation :
1) L'augmentation du volume de l'eau due à son réchauffement, augmentation substantielle du fait de la grande profondeur des océans, et 2) l'ajout d'eau supplémentaire provenant de la fonte des calottes glaciaires continentales.
Selon le Centre commun de recherches de la Commission européenne (rapport et communiqué du 14 février 2007, il est urgent de tenir compte de lexploitation des mers et des côtes européennes par lhomme dans les politiques visant à restreindre les incidences du changement climatique. Les premiers signes de réchauffement sont là : Au large de l'Écosse, la température des eaux a augmenté de 1°C en 20 ans (1986-2006), et de 0,5°C en Méditerranée, dans une mer déjà plus chaude. Les mers ont globalement monté de 0,8 à 3 mm. Les pluies torrentielles, sécheresses, inondations sont plus fréquentes.
Il existe déjà un grand nombre de « réfugiés climatiques » car certaines populations ont commencé à migrer des lieux à risques vers d'autres lieux qu'elles estiment plus sûrs. Les habitants de la localité de Lateu, sur lîle de Tegua au milieu de lOcéan Pacifique, ont commencé à démonter leurs maisons en bois pour déplacer leur village 600 mètres plus haut. Les deux mille habitants des îles Carteret au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée ont commencé à quitter leurs villages pour s'installer, à quatre heures de bateau au sud-ouest, sur lîle Bougainville.
Il est question des effets causés par lHomme dans un monde quil transforme chaque jour davantage au nom du progrès et au détriment de la planète, avec son développement incontrôlé des technologies dans tous les domaines.
Suite au 4e rapport AR4 du GIEC, approuvé par tous les pays dont les USA, 46 pays se sont engagés à lutter contre les pays qui ne réduiraient pas leurs émissions de gaz à effet de serre. Sont principalement visés les USA, la Russie, l'Inde et la Chine.
Aujourdhui, il est plus urgent que jamais dagir, dans la mesure où cela est encore possible, afin déviter les pires catastrophes écologiques, économiques et humanitaires. Parmi les mesures phares prônées par les scientifiques pour stabiliser les changements climatiques, sont : substituer les énergies renouvelables aux énergies fossiles, recourir au nucléaire, développer la capture et le stockage du CO². Pessimiste, Mohan Munasinghe, vice-président du GIEC, estime quil faudrait probablement dautres catastrophes spectaculaires et ravageuses pour que les gouvernements soient incités à faire quelque chose, car « le GIEC ne peut prescrire aucune obligation envers les Etats ».

Jusquà il y a peu de temps, les changements climatiques nétaient pas considérés dun point de vue économique, mais dernièrement, un rapport de 700 pages de sir Nicholas Stern, économiste anglais et ancien président de la Banque mondiale, estime que le réchauffement climatique entraînerait une récession économique grave et en chiffre le coût économique à 5 500 milliards d'euros. Certains États nont toujours pas signé le Protocole de Kyoto, tels que les États-Unis, alors que ce pays est le plus grand émetteur de gaz à effet de serre dans le monde. Il est évident que les raisons de ce refus de signature sont économiques et politiques, sans oublier le surendettement de cette superpuissance. Pour convaincre les gouvernements dagir, les scientifiques sefforcent de souligner les avantages financiers quune politique rigoureuse de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre pourrait représenter. Daprès le 4e rapport du GIEC en février 2007, la stabilisation des émissions de gaz à effet de serre ne coûterait en 2030 quune perte comprise entre 0,2% et 3% du PIB mondial correspondant à une « réduction du taux de croissance annuel moyen du PIB de moins de 0,06 point de pourcentage » « contre 5% à 20% si lon tarde à agir », selon N. Stern.

Cependant, ce mémoire ne tend pas plus spécifiquement à éclairer les termes et aspects économiques des changements climatiques, qui touchent à une multiplicité de domaines, et parfois il est même difficile de connaître les rebondissements exacts dun phénomène climatique. Le sujet étant extrêmement complexe, avec un très grande nombre de termes et de points de vue ainsi que dincertitudes concernant le futur climat planétaire, notre premier but était détablir une arborescence claire sur ce sujet compliqué, qui puisse élucider le cadre des changements climatiques aussi bien aux traducteurs experts qui travaillent en ce matière, quaux étudiants ou autres personnes intéressées, avec une envie de mieux cerner le sujet, ou à ceux qui seraient susceptibles dagir pour lutter contre les changements climatiques, dans la mesure du possible.
Cette initiative de glossaire trilingue ne se prétend pas à être exhaustive, tout dabord pour la raison que le nombre de termes présents, 96, nest quune goutte deau dans « locéan » du réchauffement climatique et dans celui de la science du changement climatique. Ce glossaire constitue modestement un premier pas dun glossaire trilingue visant à rendre plus clair le contexte des changements climatiques planétaires et à rendre disponible des documents en langue française et finnoise, langlais étant la langue prédominante dans le domaine.


INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE 

Selon Sylvia Pavel et Diane Nolet, le mot « terminologie » signifie « lensemble de mots techniques appartenant à une science, un art, un auteur ou un groupe social », et dans un sens restreint, une « discipline linguistique consacrée à létude scientifique des concepts et des termes en usage dans les langues de spécialité ». Nous avons constitué notre étude sur la base de cette définition ainsi quen mettant en pratique les connaissances terminologiques acquéries lors des cours donnés par M. Loïc Depecker dans le cadre du présent module « Terminologie ».

Le présent mémoire s'adresse en premier lieu aux traducteurs experts qui sont amenés à traduire des textes scientifiques en matière de science du changement climatique et cherche à leur faciliter la recherche méthodologique grâce aux nombreuses notes et liens. Il pourrait également être un outil tant aux étudiants du 2e cycle qui veulent approfondir leurs connaissances en terminologie scientifique quaux personnes désireuses de mieux comprendre ou susceptibles dagir pour lutter contre les changements climatiques, dans la mesure du possible.
Le ciblage de ce mémoire implique que le degré de technicité des termes est en général assez élevé, mais les définitions ainsi que les autres informations ont été élaborées ou choisis en veillant à les rendre accessibles et compréhensibles. Cependant, il savère nécessaire davoir des connaissances de base dans le domaine pour comprendre certains termes et relations.


Les critères de constitution du corpus détudes


Le corpus est constitué à partir des sources écrites, qui incluent des dictionnaires spécialisés, ouvrages scientifiques et sites Internet des organisations gouvernementales, des universités et des organisations internationales mondialement reconnus. Les sites Internet des organismes spécialisés au domaine du présent mémoire, tel que le GIEC, ont été privilégiés face aux autres sources, car spécialistes en ce matière et possédant la langue spécifique du domaine étudié.

Extrêmement concernée par le sujet de cette étude et possédant déjà certaines connaissances notamment grâce à lexpérience professionnelle acquise, mais nayant pas de formation scientifique, nous avons étudié en premier lieu des textes généraux du domaine considéré, en cherchant des informations fiables et en essayant de saisir limportance et le contenu des phénomènes climatiques et trouver la « structure » ou le cadre de la science du changement climatique qui nous paraissait le plus clair, instructif et utile, vu le nombre de termes limité entre 80 et 100. Nous avons cherché quels phénomènes étaient associés et avaient une importance primordiale dans le domaine de la science du changement climatique. Ensuite, pour délimiter le corpus détudes nous avons sélectionné des termes qui nous paraissaient les plus importants pour le schéma représentant le domaine et selon leur spécificité quant au domaine en question, ainsi que selon loccurrence des termes dans les textes.

Les caractéristiques du corpus

Lappartenance des termes à des domaines particuliers est un des principes fondamentaux de la terminologie. Le même terme peut désigner des concepts différents dans un autre domaine et le même concept peut avoir des différentes désignations dans dautres domaines. Prenons un exemple, « ablation », terme officialisé et recommandé (publié au Journal Officiel le 22/09/2000), qui désigne « processus qui se produit dans la cryosphère provoquant la disparition de la neige ou de la glace dune surface enneigée ou englacée » (librement inspirée du Dictionnaire mot-clés du CNRS). En médecine, ablation est « action d'enlever chirurgicalement une partie du corps ». Lindication du domaine lève lambiguïté. Le corpus du présent mémoire regroupe 96 entrées, dont nous avons dû simplifier la classification en domaines à cause de la complexité du sujet ; ainsi, le domaine est souvent désigné comme «science du changement climatique » ou « système climatique ». Cependant, il ne faut pas oublier que les phénomènes des changements climatiques sont extrêmement complexes et ne relèvent pas seulement de climatologie, mais parfois en même temps aussi de la météorologie, de la géographie, de la glaciologie, de l'informatique, de la modélisation, de la statistique, des mathématiques, de lagronomie, de la géologie, de locéanographie, de la chimie (isotopes), de la palynologie, de l'hydrologie, voire de lhistoire et préhistoire... Posant des problèmes évidents au niveau mondial, les changements climatiques ont une place prépondérante dans la politique et léconomie globales.

Les concepts appartenant à un domaine spécifique sont liés les uns aux autres dans un système de concepts. Selon D. Gouadec, le terme « concept » signifie « une unité de connaissance constituée par abstraction à partir de traits ou propriétés communs à une classe dobjet, de relations ou dentités ». Il sagit dune représentation mentale servant à structurer les entités physiques ou abstraites du monde réel, indépendamment des langues. Nous avons procédé à lanalyse relationnelle du système conceptuel dans notre corpus détudes, qui a révélé que les relations génériques sont le plus fréquemment utilisées. Nous avons calculé la quantité des relations génériques et des relations partitives, et avons trouvé que la relation du premier type prend une place prépondérante (environ 67% de termes traités, contre 33% de relations partitives). La relation générique consiste des liaisons logiques des concepts génériques et spécifiques (relation genre/espèce), un concept englobant dautres concepts plus spécifiques, et qui héritent donc des propriétés des concepts qui leur sont supérieurs. Nous pouvons prendre pour exemple le terme //climat arctique//, qui est un type de //macroclimat//. Les relations partitives relient un tout et ses parties. Exemple : //Gulf Stream// est une partie de //hydrosphère//.

Les relations associatives relient les concepts en les localisant dans lespace (relation topologique) ou dans le temps (relation séquentielle). Exemple : //mésosphère// est la troisième couche de l'atmosphère qui se situe au-dessus de la stratosphère entre 50 km et 90 km d'altitude, et qui est une zone de transition entre la Terre et l'Espace. (relation topologique entre //mésosphère// et //atmosphère//)

Il peut être question à la fois de relation topologique et de relation séquentielle, comme dans le cas de exemple suivant : //trou dozone printanier// est un type de //trou d'ozone// caractéristique de l'hémisphère Sud, au-dessus de l'Antarctique, qui apparaît en octobre, pendant le printemps austral, dès la disparition du tourbillon circumpolaire (relation topologique et séquentielle). Les relations conceptuelles sont souvent complexes et peuvent sentrecroiser.

Létude des relations nous a permis de constituer une arborescence (un classement de concepts), qui sert à visualiser les relations entre les concepts, indépendamment des langues, et à faciliter lélaboration des définitions. Une définition est une description linguistique dun concept considéré, à distinguer du mot « terme », qui selon D. Gouadec, se définit comme « chaîne de caractères désignant lintégralité dun référent spécifique et spécifiable. La chaîne de caractères concernée peut correspondre à un mot orthographique ou à plusieurs mots ».

La problématique

La première difficulté rencontrée lors de constitution de ce mémoire était le fait que la plupart de documents officiels sont en langue anglaise. La seconde, la difficulté délaborer des définitions des termes considérés, « définition » étant une formule brève qui rend reconnaissable un concept spécialisé. Nous avons cherché à suivre lindication de M. Loïc Depecker, selon qui la définition est « aussi brève que possible mais aussi longue que nécessaire », en cherchant à formuler chaque définition dans une seule phrase concise et claire. Dabord, nous avons effectué une recherche méthodologique de définitions existantes, vu le spécificité et complexité du domaine en question, et nous avons pratiqué une étude comparative de ces définitions. Ensuite, nous nous sommes référées à larborescence, que nous avons dû modifier concernant certains classements lors de létablissement des définitions. Nous avons cherché à repérer les relations englobantes et spécifiques des concepts, et comme exemple, avons repéré la relation topologique des termes //formation de nuages// et //troposphère//, afin de définir le concept « formation de nuages » comme « phénomène qui se produit dans la troposphère, lorsquun volume d'air refroidit jusqu'à la condensation d'une partie de la vapeur d'eau quil contient», le définisseur initial étant donc //troposphère//. Prenons un exemple de comparaison, la définition donnée du même terme sur le site Internet de lÉcole Normale Supérieure de Lyon, http://www.ens-lyon.fr/DSM/magistere/projets_biblio/2003/glesur/: « La formation nuageuse est due à la condensation de vapeur d'eau présente dans l'atmosphère. Cette condensation a lieu en raison d'un refroidissement de la masse dair contenant la vapeur d'eau. En effet, la quantité maximum d'eau vapeur qui peut être contenue dans 1 litre d'air diminue quand la température diminue. »
Le contexte consiste en une citation, qui montre lemploi du concept défini dans le domaine choisi. Notre but a été de trouver des citations claires et spécifiques au domaine étudié.

En ce qui concerne les synonymes, nous avons été très prudents, car selon D. Gouadec « sont dites synonymiques, deux entités dont les valeurs sont rigoureusement identiques. Elles sont donc en tout point substituables lune à lautre ». Nous avons révélé le terme //climat arctique// qui peut être substitué par le terme //climat polaire// à tout contexte du domaine en question. Un concept est souvent désigné par deux ou plusieurs termes dont lun est un emprunt. Dans ce cas, nous avons toujours privilégié lutilisation des mots dorigine française.
Nous avons rencontré certains problèmes de traduction en ce qui concernait de trouver des équivalents finnois pour les termes français, part manque dexistence de dictionnaires ou glossaires spécialisés dans le domaine. Dans ce cas, nous avons fait des recherches dans des documents officiels unilingues en finnois, afin de trouver une traduction appropriée.



Larborescence


I. Science du changement climatique

1 1. climatologie
2 1.1. climat
3 1.1.1. changement climatique
4 1.1.1.1. climatologue
5 1.1.2. réchauffement climatique
6 1.1.3. macroclimat
7 1.1.3.1. climat équatorial
8 1.1.3.2. climat tropical
9 1.1.3.3. climat aride
10 1.1.3.4. climat méditerranéen
11 1.1.3.5. climat chinois
12 1.1.3.6. climat océanique
13 1.1.3.7. climat continental
14 1.1.3.8. climat arctique

15 1.2. système climatique
16 1.2.1. atmosphère
17 1.2.1.1. troposphère
18 1.2.1.1.1. formation de nuages
19 1.2.1.1.2. turbulence atmosphérique
20 1.2.1.1.3. perturbation atmosphérique
21 1.2.1.1.4. effet de serre
22 1.2.1.1.4.1. rayonnement solaire
23 1.2.1.1.4.2. rayonnement infrarouge
24 1.2.1.1.4.3. gaz à effet de serre
25 1.2.1.2. stratosphère
26 1.2.1.2.1. couche dozone
27 1.2.1.2.1.2. trou dozone
28 1.2.1.2.1.2.1. trou arctique
29 1.2.1.2.1.2.2. trou dozone antarctique
30 1.2.1.2.1.2.3. trou dozone printanier
31 1.2.1.2.1.2.4. extension du trou d'ozone
32 1.2.1.3. mésosphère
33 1.2.1.4. thermosphère
34 1.2.1.5. exosphère
35 1.2.2. hydrosphère
1.2.2.1. surface océanique et les mers
36 1.2.2.1.1. niveau moyen de la mer
37 1.2.2.1.2. hausse du niveau de la mer
38 1.2.2.2. Gulf Stream
39 1.2.3. cryosphère
1.2.3.1. glace
1.2.3.1.1. glace flottante
40 1.2.3.1.1.1. banquise
1.2.3.1.2. glace terrestre
41 1.2.3.1.2.1. glacier
42 1.2.3.1.2.1.1. retrait des glaciers
43 1.2.3.1.2.1.2. avancée de glaciers
44 1.2.3.1.2.1.3. ablation
1.2.3.1.2.1.4. types de glacier
45 1.2.3.1.2.1.4.1. inlandsis
46 1.2.3.1.2.1.4.2. calotte glaciaire
47 1.2.4. terres émergées
48 1.2.5. biosphère
49 1.2.5.1. écosystème
50 1.2.5.1.1. biodiversité
1.2.5.1.1.1. corail
51 1.2.5.1.1.1.1. blanchissement du corail
52 1.2.6. circulation générale
53 1.2.6.1. Anticyclone Mobile Polaire
54 1.2.7. El Nino
55 1.2.8. La Nina
56 1.2.9. cycle du carbone

1.3. Soleil
57 1.3.1. activité solaire
1.3.2. rayonnement solaire (Voir I.-1.2.1.1.4.1.)
58 1.3.1.1. albédo
59 1.4. paléoclimatologie
60 2. météorologie


II. Analyse du système climatique et de la modification de latmosphère

61 1. bilan énergétique
2. outils de recherche
62 2.1. altimétrie
63 2.2. marégraphe (Voir : I.-1.2.2.1.1. niveau moyen de la mer)
64 2.3. hygromètre
65 2.4. pluviomètre
66 2.5. anémomètre
67 2.6. baromètre
68 2.6.1. baromètre enregistreur
69 2.7. thermographie
70 2.8. carottage
71 3. compréhension scientifique
72 4. source
4.1. gaz à effet de serre (Voir : I.-1.2.1.1.4.3.)
73 4.1.1. dioxyde de carbone
74 4.1.2. aérosol
75 4.1.1.1. aérosol carboné
76 4.1.1.2. aérosol organique
77 5. puits
78 5.1. boisement
79 5.2. reboisement
80 5.3. déboisement
6. Sources dincertitude
6.1. facteur non-climatique
81 6.1.1. processus géomorphologique
82 6.1.2. occupation des sols
83 6.2. évolution du climat
6.3. formation de nuages (Voir : I.- 1.2.1.1.1.)
84 6.4. modèle
85 6.4.1. scénario

86 7. événement extrême
87 8. absorption
88 9. charge
89 10. attenuation
90 11. capacité dadaptation


III. Lutte contre le rechauffement climatique

1. Moyens
91 1.1. énergie renouvelable
1.2. puits (Voir II.-5.)

2. Cadre conventionnel et juridique
92 2.1. Protocole de Kyoto
93 2.2. Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques
94 2.3. Protocole de Montréal

3. Conseils scientifiques (Voir la présentation complète à lAnnexe)
95 3.1. Groupe intergouvernemental dexperts sur lévolution du climat

4. Autres partenaires
96 4.1. Alliance des petits États insulaires (AOSIS)


BIBLIOGRAPHIE

Selon Sylvia Pavel et Diane Nolet, le mot « terminologie » signifie « lensemble de mots techniques appartenant à une science, un art, un auteur ou un groupe social », et dans un sens restreint, une « discipline linguistique consacrée à létude scientifique des concepts et des termes en usage dans les langues de spécialité ». Nous avons constitué notre étude sur la base de cette définition ainsi quen mettant en pratique les connaissances terminologiques acquéries lors des cours donnés par M. Loïc Depecker dans le cadre du présent module « Terminologie ».

Le présent mémoire s'adresse en premier lieu aux traducteurs experts qui sont amenés à traduire des textes scientifiques en matière de science du changement climatique et cherche à leur faciliter la recherche méthodologique grâce aux nombreuses notes et liens. Il pourrait également être un outil tant aux étudiants du 2e cycle qui veulent approfondir leurs connaissances en terminologie scientifique quaux personnes désireuses de mieux comprendre ou susceptibles dagir pour lutter contre les changements climatiques, dans la mesure du possible.
Le ciblage de ce mémoire implique que le degré de technicité des termes est en général assez élevé, mais les définitions ainsi que les autres informations ont été élaborées ou choisis en veillant à les rendre accessibles et compréhensibles. Cependant, il savère nécessaire davoir des connaissances de base dans le domaine pour comprendre certains termes et relations.


Les critères de constitution du corpus détudes


Le corpus est constitué à partir des sources écrites, qui incluent des dictionnaires spécialisés, ouvrages scientifiques et sites Internet des organisations gouvernementales, des universités et des organisations internationales mondialement reconnus. Les sites Internet des organismes spécialisés au domaine du présent mémoire, tel que le GIEC, ont été privilégiés face aux autres sources, car spécialistes en ce matière et possédant la langue spécifique du domaine étudié.

Extrêmement concernée par le sujet de cette étude et possédant déjà certaines connaissances notamment grâce à lexpérience professionnelle acquise, mais nayant pas de formation scientifique, nous avons étudié en premier lieu des textes généraux du domaine considéré, en cherchant des informations fiables et en essayant de saisir limportance et le contenu des phénomènes climatiques et trouver la « structure » ou le cadre de la science du changement climatique qui nous paraissait le plus clair, instructif et utile, vu le nombre de termes limité entre 80 et 100. Nous avons cherché quels phénomènes étaient associés et avaient une importance primordiale dans le domaine de la science du changement climatique. Ensuite, pour délimiter le corpus détudes nous avons sélectionné des termes qui nous paraissaient les plus importants pour le schéma représentant le domaine et selon leur spécificité quant au domaine en question, ainsi que selon loccurrence des termes dans les textes.

Les caractéristiques du corpus

Lappartenance des termes à des domaines particuliers est un des principes fondamentaux de la terminologie. Le même terme peut désigner des concepts différents dans un autre domaine et le même concept peut avoir des différentes désignations dans dautres domaines. Prenons un exemple, « ablation », terme officialisé et recommandé (publié au Journal Officiel le 22/09/2000), qui désigne « processus qui se produit dans la cryosphère provoquant la disparition de la neige ou de la glace dune surface enneigée ou englacée » (librement inspirée du Dictionnaire mot-clés du CNRS). En médecine, ablation est « action d'enlever chirurgicalement une partie du corps ». Lindication du domaine lève lambiguïté. Le corpus du présent mémoire regroupe 96 entrées, dont nous avons dû simplifier la classification en domaines à cause de la complexité du sujet ; ainsi, le domaine est souvent désigné comme «science du changement climatique » ou « système climatique ». Cependant, il ne faut pas oublier que les phénomènes des changements climatiques sont extrêmement complexes et ne relèvent pas seulement de climatologie, mais parfois en même temps aussi de la météorologie, de la géographie, de la glaciologie, de l'informatique, de la modélisation, de la statistique, des mathématiques, de lagronomie, de la géologie, de locéanographie, de la chimie (isotopes), de la palynologie, de l'hydrologie, voire de lhistoire et préhistoire... Posant des problèmes évidents au niveau mondial, les changements climatiques ont une place prépondérante dans la politique et léconomie globales.

Les concepts appartenant à un domaine spécifique sont liés les uns aux autres dans un système de concepts. Selon D. Gouadec, le terme « concept » signifie « une unité de connaissance constituée par abstraction à partir de traits ou propriétés communs à une classe dobjet, de relations ou dentités ». Il sagit dune représentation mentale servant à structurer les entités physiques ou abstraites du monde réel, indépendamment des langues. Nous avons procédé à lanalyse relationnelle du système conceptuel dans notre corpus détudes, qui a révélé que les relations génériques sont le plus fréquemment utilisées. Nous avons calculé la quantité des relations génériques et des relations partitives, et avons trouvé que la relation du premier type prend une place prépondérante (environ 67% de termes traités, contre 33% de relations partitives). La relation générique consiste des liaisons logiques des concepts génériques et spécifiques (relation genre/espèce), un concept englobant dautres concepts plus spécifiques, et qui héritent donc des propriétés des concepts qui leur sont supérieurs. Nous pouvons prendre pour exemple le terme //climat arctique//, qui est un type de //macroclimat//. Les relations partitives relient un tout et ses parties. Exemple : //Gulf Stream// est une partie de //hydrosphère//.

Les relations associatives relient les concepts en les localisant dans lespace (relation topologique) ou dans le temps (relation séquentielle). Exemple : //mésosphère// est la troisième couche de l'atmosphère qui se situe au-dessus de la stratosphère entre 50 km et 90 km d'altitude, et qui est une zone de transition entre la Terre et l'Espace. (relation topologique entre //mésosphère// et //atmosphère//)

Il peut être question à la fois de relation topologique et de relation séquentielle, comme dans le cas de exemple suivant : //trou dozone printanier// est un type de //trou d'ozone// caractéristique de l'hémisphère Sud, au-dessus de l'Antarctique, qui apparaît en octobre, pendant le printemps austral, dès la disparition du tourbillon circumpolaire (relation topologique et séquentielle). Les relations conceptuelles sont souvent complexes et peuvent sentrecroiser.

Létude des relations nous a permis de constituer une arborescence (un classement de concepts), qui sert à visualiser les relations entre les concepts, indépendamment des langues, et à faciliter lélaboration des définitions. Une définition est une description linguistique dun concept considéré, à distinguer du mot « terme », qui selon D. Gouadec, se définit comme « chaîne de caractères désignant lintégralité dun référent spécifique et spécifiable. La chaîne de caractères concernée peut correspondre à un mot orthographique ou à plusieurs mots ».

La problématique

La première difficulté rencontrée lors de constitution de ce mémoire était le fait que la plupart de documents officiels sont en langue anglaise. La seconde, la difficulté délaborer des définitions des termes considérés, « définition » étant une formule brève qui rend reconnaissable un concept spécialisé. Nous avons cherché à suivre lindication de M. Loïc Depecker, selon qui la définition est « aussi brève que possible mais aussi longue que nécessaire », en cherchant à formuler chaque définition dans une seule phrase concise et claire. Dabord, nous avons effectué une recherche méthodologique de définitions existantes, vu le spécificité et complexité du domaine en question, et nous avons pratiqué une étude comparative de ces définitions. Ensuite, nous nous sommes référées à larborescence, que nous avons dû modifier concernant certains classements lors de létablissement des définitions. Nous avons cherché à repérer les relations englobantes et spécifiques des concepts, et comme exemple, avons repéré la relation topologique des termes //formation de nuages// et //troposphère//, afin de définir le concept « formation de nuages » comme « phénomène qui se produit dans la troposphère, lorsquun volume d'air refroidit jusqu'à la condensation d'une partie de la vapeur d'eau quil contient», le définisseur initial étant donc //troposphère//. Prenons un exemple de comparaison, la définition donnée du même terme sur le site Internet de lÉcole Normale Supérieure de Lyon, http://www.ens-lyon.fr/DSM/magistere/projets_biblio/2003/glesur/: « La formation nuageuse est due à la condensation de vapeur d'eau présente dans l'atmosphère. Cette condensation a lieu en raison d'un refroidissement de la masse dair contenant la vapeur d'eau. En effet, la quantité maximum d'eau vapeur qui peut être contenue dans 1 litre d'air diminue quand la température diminue. »
Le contexte consiste en une citation, qui montre lemploi du concept défini dans le domaine choisi. Notre but a été de trouver des citations claires et spécifiques au domaine étudié.

En ce qui concerne les synonymes, nous avons été très prudents, car selon D. Gouadec « sont dites synonymiques, deux entités dont les valeurs sont rigoureusement identiques. Elles sont donc en tout point substituables lune à lautre ». Nous avons révélé le terme //climat arctique// qui peut être substitué par le terme //climat polaire// à tout contexte du domaine en question. Un concept est souvent désigné par deux ou plusieurs termes dont lun est un emprunt. Dans ce cas, nous avons toujours privilégié lutilisation des mots dorigine française.
Nous avons rencontré certains problèmes de traduction en ce qui concernait de trouver des équivalents finnois pour les termes français, part manque dexistence de dictionnaires ou glossaires spécialisés dans le domaine. Dans ce cas, nous avons fait des recherches dans des documents officiels unilingues en finnois, afin de trouver une traduction appropriée.



Larborescence


I. Science du changement climatique

1 1. climatologie
2 1.1. climat
3 1.1.1. changement climatique
4 1.1.1.1. climatologue
5 1.1.2. réchauffement climatique
6 1.1.3. macroclimat
7 1.1.3.1. climat équatorial
8 1.1.3.2. climat tropical
9 1.1.3.3. climat aride
10 1.1.3.4. climat méditerranéen
11 1.1.3.5. climat chinois
12 1.1.3.6. climat océanique
13 1.1.3.7. climat continental
14 1.1.3.8. climat arctique

15 1.2. système climatique
16 1.2.1. atmosphère
17 1.2.1.1. troposphère
18 1.2.1.1.1. formation de nuages
19 1.2.1.1.2. turbulence atmosphérique
20 1.2.1.1.3. perturbation atmosphérique
21 1.2.1.1.4. effet de serre
22 1.2.1.1.4.1. rayonnement solaire
23 1.2.1.1.4.2. rayonnement infrarouge
24 1.2.1.1.4.3. gaz à effet de serre
25 1.2.1.2. stratosphère
26 1.2.1.2.1. couche dozone
27 1.2.1.2.1.2. trou dozone
28 1.2.1.2.1.2.1. trou arctique
29 1.2.1.2.1.2.2. trou dozone antarctique
30 1.2.1.2.1.2.3. trou dozone printanier
31 1.2.1.2.1.2.4. extension du trou d'ozone
32 1.2.1.3. mésosphère
33 1.2.1.4. thermosphère
34 1.2.1.5. exosphère
35 1.2.2. hydrosphère
1.2.2.1. surface océanique et les mers
36 1.2.2.1.1. niveau moyen de la mer
37 1.2.2.1.2. hausse du niveau de la mer
38 1.2.2.2. Gulf Stream
39 1.2.3. cryosphère
1.2.3.1. glace
1.2.3.1.1. glace flottante
40 1.2.3.1.1.1. banquise
1.2.3.1.2. glace terrestre
41 1.2.3.1.2.1. glacier
42 1.2.3.1.2.1.1. retrait des glaciers
43 1.2.3.1.2.1.2. avancée de glaciers
44 1.2.3.1.2.1.3. ablation
1.2.3.1.2.1.4. types de glacier
45 1.2.3.1.2.1.4.1. inlandsis
46 1.2.3.1.2.1.4.2. calotte glaciaire
47 1.2.4. terres émergées
48 1.2.5. biosphère
49 1.2.5.1. écosystème
50 1.2.5.1.1. biodiversité
1.2.5.1.1.1. corail
51 1.2.5.1.1.1.1. blanchissement du corail
52 1.2.6. circulation générale
53 1.2.6.1. Anticyclone Mobile Polaire
54 1.2.7. El Nino
55 1.2.8. La Nina
56 1.2.9. cycle du carbone

1.3. Soleil
57 1.3.1. activité solaire
1.3.2. rayonnement solaire (Voir I.-1.2.1.1.4.1.)
58 1.3.1.1. albédo
59 1.4. paléoclimatologie
60 2. météorologie


II. Analyse du système climatique et de la modification de latmosphère

61 1. bilan énergétique
2. outils de recherche
62 2.1. altimétrie
63 2.2. marégraphe (Voir : I.-1.2.2.1.1. niveau moyen de la mer)
64 2.3. hygromètre
65 2.4. pluviomètre
66 2.5. anémomètre
67 2.6. baromètre
68 2.6.1. baromètre enregistreur
69 2.7. thermographie
70 2.8. carottage
71 3. compréhension scientifique
72 4. source
4.1. gaz à effet de serre (Voir : I.-1.2.1.1.4.3.)
73 4.1.1. dioxyde de carbone
74 4.1.2. aérosol
75 4.1.1.1. aérosol carboné
76 4.1.1.2. aérosol organique
77 5. puits
78 5.1. boisement
79 5.2. reboisement
80 5.3. déboisement
6. Sources dincertitude
6.1. facteur non-climatique
81 6.1.1. processus géomorphologique
82 6.1.2. occupation des sols
83 6.2. évolution du climat
6.3. formation de nuages (Voir : I.- 1.2.1.1.1.)
84 6.4. modèle
85 6.4.1. scénario

86 7. événement extrême
87 8. absorption
88 9. charge
89 10. attenuation
90 11. capacité dadaptation


III. Lutte contre le rechauffement climatique

1. Moyens
91 1.1. énergie renouvelable
1.2. puits (Voir II.-5.)

2. Cadre conventionnel et juridique
92 2.1. Protocole de Kyoto
93 2.2. Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques
94 2.3. Protocole de Montréal

3. Conseils scientifiques (Voir la présentation complète à lAnnexe)
95 3.1. Groupe intergouvernemental dexperts sur lévolution du climat

4. Autres partenaires
96 4.1. Alliance des petits États insulaires (AOSIS)

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