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Termes
traités dans ce mémoire

Les volcans
Français,anglais,espagnol

Ludivine Mehlem

Maitrise LEA - 2004 / 2005 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker



Sommaire

Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire

Bibliographie


Remerciements

Je tiens tout d'abord à remercier M. Loïc Depecker, professeur de terminologie en LEA et responsable du mémoire, pour les cours dispensés et les conseils promulgués, tout au long de cette année universitaire, indispensables quant à la démarche à suivre pour réaliser ce mémoire.
Je remercie également Mme Martin Marie, professeur de SVT, pour avoir accepté de relire ce mémoire de terminologie et qui a révisé toutes les fiches.
Je remercie Mr Legros Laurent, spécialiste en volcanologie, pour sa disponibilité, sa gentillesse à mon égard et surtout ses compétences dans ce vaste domaine et son active collaboration, et pour avoir accepté de valider ce mémoire.
Enfin, toutes les personnes à qui je me suis adressée lors de mes recherches pour leurs précieux conseils, sans lesquels ce mémoire n'aurait pas été possible


INTRODUCTION

INTRODUCTION GÉNÉRALE 

Le présent travail a été réalisé dans le cadre de mon cours de français pour l'obtention de la Maîtrise Langues Étrangères Appliquées mention traduction spécialisée. J'ai choisi pour ce dictionnaire spécialisé plurilingue un sujet scientifique car je souhaite m'orienter vers des études de traduction scientifique et technique non seulement par intérêt pour les langues étrangères, mais aussi par goût pour les sciences. La traduction scientifique permet en effet au traducteur d'avoir un rôle actif dans l'évolution de la langue, car il est confronté à l'apparition de nouveaux termes au fur et à mesure des découvertes et des progrès techniques.
La volcanologie, une des branches de la géologie, est un domaine auquel je m'intéresse depuis peu et que je trouve passionnant. C'est pourquoi j'ai décidé de choisir les volcans comme sujet de ce mémoire de terminologie.
Expression de l'antique colère des dieux, les volcans épouvantent les hommes depuis la nuit des temps. Certaines civilisations sont disparues à jamais à cause d'explosions catastrophiques. Les éruptions auxquelles nos aïeuls assistaient donnèrent naissance à des croyances populaires où se mêlaient terreurs superstitieuses et légendes fantastiques.
C'est aux romains que l'on doit les traditions mythologiques les plus célèbres. Pour eux, Vulcain est l'un des trois fils de Jupiter et de Junon. Cet enfant régnait en maître dans les entrailles en feu des volcans. C'est pourquoi, il fût pris pour le patron des forgerons car la légende dit qu'il y avait installé ses forges dans les profondeurs d'un cratère appelé Vulcano et situé dans les îles Eoliennes en Sicile. L'éthymologie du mot "volcan" provient de là. Les poètes romains imaginèrent Vulcain forgeant des flèches d'airain pour Appollon et Diane, ciselant le bouclier d'Achille, martelant l'armure invincible d'Hercule.
De nos jours, de tels légendes et cultes existent en Indonésie, au Japon, aux Nouvelles-Hébrides, au Mexique et même à Hawaii. Mais le japon reste le royaume des cultes en tout genre.
Le mot "volcan", dérivé de Vulcain, dieu du feu chez les Romains, évoque pour la plupart d'entre nous un édifice montagneux conique à sommet tronqué, creusé d'un entonnoir rempli de lave. Mais, les vulcanologues les voient tout autrement. Le terme "volcan" désigne en fait tous les systèmes naturels complexes par lesquels s'épanchent à la surface du sol des matériaux provenant des zones internes du globe. Mais, d'où viennent les volcans? De quoi sont-ils fait? Quelles sont les conséquences d'une éruption volcanique?
Parmi tous les phénomènes naturels, les éruptions volcaniques fascinent et inquiètent, et leur énormité a longtemps effrayé les hommes, elles sont certainement les manifestations les plus tangibles et les plus spectaculaires de la vie de notre planète Terre. Encore regardés il y a quelques dizaine d'années comme un épiphénomène géologique, les volcans sont devenus aujourd'hui l'une des clefs essentielles pour la compréhension de la dynamique globale de notre planète.
Dans ce mémoire, nous nous intéresserons aux caractéristiques, à la formation, à l'évolution et au fonctionnement des volcans. Je vous convie donc à un étonnant voyage au cSur des volcans.


INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE 

- La démarche

Si la volcanologie m'intéresse, je suis encore relativement néophyte en la matière. Choisir les volcans comme thème de ce mémoire est pour moi un moyen d'approfondir le sujet. Le présent dictionnaire ne s'adresse pas à des professionnels de la volcanologie, mais plutôt à des personnes qui, comme moi, souhaitent acquérir des connaissances de base qui leur permettront de mieux comprendre le fonctionnement des volcans.
L'élaboration de ce mémoire de terminologie a exigé des recherches extensives et un travail de longue haleine. À fin de sélectionner les entrées de ce dictionnaire, j'ai donc lu un maximum d'ouvrages écrits par des professionnels en volcanologie, de même que des articles de vulgarisation concernant les volcans, et en particulier des articles de magazines scientifiques comme Science & Vie, La Recherche : L'Actualité des Sciences et la revue LAVE. J'ai également consulté un grand nombre de sites Internet grand public consacrés à la volcanologie. Cela m'a permis de réunir près de 81 termes récurrents dans ce type de document. Ils constituent la terminologie de base des volcans. Toutefois, la liste n'est pas exhaustive.


- Ciblage

J'ai tenté de faire en sorte que les définitions soient les plus claires possibles (ce qui n'a pas toujours été facile), pour que ce travail soit accessible à des non spécialistes. J'ai voulu faire un glossaire pour répondre aux questions que moi-même je me suis posée au début de ce travail.
Les principaux domaines que j'ai développés sont les caractéristiques (structure, dynamique) des volcans, leur formation, leur évolution et fonctionnement ainsi que la classification des dynamismes éruptifs. Étant donné la nature de ces domaines, les relations entre les termes sont variées. Elles sont génériques, notamment en ce qui concerne les divers matériaux volcaniques et les différents dynamismes éruptifs, partitives en ce qui concerne la structure d'un volcan, associatives (séquentielles) concernant les différentes phases que peut connaître un volcan, et associatives (topologiques) en particulier pour la manifestation de l'activité volcanique.
Pour l'élaboration des définitions, j'ai consulté principalement des dictionnaires des sciences de la terre ainsi qu'un guide encyclopédique des volcans, mais aussi des glossaires en ligne, notamment des glossaires en français, en anglais et en espagnol. En effet, le domaine des volcans est un sujet qui intéresse un grand nombre de personnes, d'où l'abondance de sites Internet dans ce domaine créés par des passionnés. Cependant, il est apparu que certaines définitions que l'on peut trouver soient imprécises, voire contradictoires ou bien trop complexes. À cet égard, je me suis rendu compte de l'importance de rencontrer des professionnels afin de faire le tri entre les informations. En effet, le vocabulaire utilisé par les professionnels et celui employé dans le domaine de la vulgarisation présente
parfois des différences.
Vous remarquerez en regardant mes fiches terminologiques que certains champs ne figurent pas, alors qu'ils sont présents sur la fiche-type que j'ai jointe. En effet, je n'ai pas eu l'utilité de tous les champs et
je ne les ai donc pas tous fait apparaître, ce qui permet une meilleure lisibilité.

Je trouvais intéressant de créer un champ annexe qui permette des renvois à des illustrations disponibles sur différents sites Internet qui complètent la définition du terme par une image. J'ai également créé un champ relation, dans lequel je précise le type de relation du terme avec celui qui lui est immédiatement supérieur. Les arborescences en pavet et graphique n'étant pas forcément toujours très clair, cela permet notamment de différencier les types de relations associatives (séquentielle ou topologique), ceux-ci se trouvant représentés sous la même forme dans l'arborescence.
Afin que l'arborescence graphique soit plus lisible j'ai préféré faire plusieurs arborescences.
Malgré tout, il m'a paru opportun de donner parfois des définitions plus générales, quand je le jugeais utile.
Enfin, j'ai fait figurer dans les champs concernant les autres liens, des concepts qui ne sont pas forcément traités dans ce dictionnaire, mais qu' il me paraissait intéressant de signaler dans le cas où le lecteur souhaiterais approfondir certaines questions relatives aux volcans.


- Limite et découpage

Dans cette perspective de répondre à des questions de base, j'ai essayé d'expliquer, à travers quatre-vingt-un concepts, différents domaines de la volcanologie. L'arborescence se divise en quatre domaines : géologie ; pétrographie ; volcanisme ; volcanologie, puis en dix-huit sous domaines, se rapportant principalement à la morphologie d'un volcan, aux différents mécanismes éruptifs ainsi qu'aux divers matériaux qui les accompagnent.


- Critères de constitution et caractéristique du corpus

J'ai utilisé divers ouvrages écrits, pour la plupart, par des volcanologues de renommée mondiale, pour effectuer mes recherches, ces derniers ont été une véritable source d'informations pour comprendre au mieux les différents concepts qu'englobe la volcanologie et qui d'autre part m'ont fourni des contextes variés pour mes termes. J'ai pu me procurer ces ouvrages notamment auprès de la l'association LAVE, Association Volcanologue Européenne, de la Bibliothèque Centrale du Museum National d'Histoire Naturelle, ainsi qu'auprès de la bibliothèque de l'Institut Cervantes, bibliothèque espagnole, pour la traduction des termes en espagnol. J'ai aussi utilisé la base de données lexis-nexis disponible à Paris III où plusieurs articles de journaux français sont regroupés, j'ai aussi utilisé ces derniers pour les contextes.
J'ai également utilisé des sites Internet, soit appartenants à des associations professionnelles consacrées à l'étude de la volcanologie, soit crées par des passionnés de volcans, qui m'ont également servi à trouver certains contextes. L'intérêt de ce travail porte sur la diversité des concepts, sur la difficulté que pose la recherche des équivalents en langue étrangère.


- Questions rencontrées et problématique

Mes principales difficultés ont étés d'ordre terminologique. La principale difficulté que j'ai rencontrée se réfère à l'élaboration de l'arborescence. En effet, j'ai souvent hésité entre plusieurs possibilités, et mon arborescence a subi de multiples modifications depuis la première ébauche, un même concept pouvant entrer dans plusieurs domaines différents.
Le choix des domaines, des sous domaines et la création de l'arborescence ont également été des étapes particulièrement difficiles. En effet il m'a fallu simplifier énormément mes arborescences en abandonnant certains termes qui me semblaient tout à fait intéressants mais qui n'avait pas toujours une relation directe avec certains termes et qui n'étaient donc pas toujours cohérents avec le reste du travail.
En ce qui concerne l'arborescence, afin d'avoir une meilleure visibilité sur la version graphique, j'ai préféré ne mettre en valeur que les trois grands types de relations entre les termes : relations génériques, partitives et associatives. Je joins également une version en pavé de l'arborescence, en signalant que cette présentation a l'inconvénient qu'on ne peut préciser les types de relations entre les termes, et que certains se retrouvent sur le même niveau alors que chaque terme correspond à un champ différent, par exemple un terme peut correspondre à une partie du terme supérieur et un autre à une espèce.
Enfin, un autre problème rencontré a été la difficulté de trouver des équivalents en anglais et espagnol qui soient fiables, car quelques fois certains dictionnaires n'étaient pas toujours d'accord sur l'équivalence de la traduction, c'est pourquoi en cas de forte hésitation (je n'ai pas réussi à trouver deux équivalents espagnol : cône égueulé ; cône emboîté), j'ai préféré m'abstenir de donner une traduction, cette dernière pouvant s'avérer être erronée.

CONCLUSION


Ce travail de terminologie a été l'occasion d'appréhender les réalités physiques d'un volcan qui, pour moi, soulevait encore beaucoup de questions. J'espère que ce dictionnaire permettra au lecteur de mieux comprendre certaines notions relatives à la volcanologie, et qu'il lui donnera l'envie de s'intéresser de plus près aux volcans qui est un sujet très vaste, riche en information et véritablement passionnant.
Cependant il est préférable de considérer avec prudence les informations grand public que l'on est susceptible de trouver, en particulier sur Internet.


BIBLIOGRAPHIE

- La démarche

Si la volcanologie m'intéresse, je suis encore relativement néophyte en la matière. Choisir les volcans comme thème de ce mémoire est pour moi un moyen d'approfondir le sujet. Le présent dictionnaire ne s'adresse pas à des professionnels de la volcanologie, mais plutôt à des personnes qui, comme moi, souhaitent acquérir des connaissances de base qui leur permettront de mieux comprendre le fonctionnement des volcans.
L'élaboration de ce mémoire de terminologie a exigé des recherches extensives et un travail de longue haleine. À fin de sélectionner les entrées de ce dictionnaire, j'ai donc lu un maximum d'ouvrages écrits par des professionnels en volcanologie, de même que des articles de vulgarisation concernant les volcans, et en particulier des articles de magazines scientifiques comme Science & Vie, La Recherche : L'Actualité des Sciences et la revue LAVE. J'ai également consulté un grand nombre de sites Internet grand public consacrés à la volcanologie. Cela m'a permis de réunir près de 81 termes récurrents dans ce type de document. Ils constituent la terminologie de base des volcans. Toutefois, la liste n'est pas exhaustive.


- Ciblage

J'ai tenté de faire en sorte que les définitions soient les plus claires possibles (ce qui n'a pas toujours été facile), pour que ce travail soit accessible à des non spécialistes. J'ai voulu faire un glossaire pour répondre aux questions que moi-même je me suis posée au début de ce travail.
Les principaux domaines que j'ai développés sont les caractéristiques (structure, dynamique) des volcans, leur formation, leur évolution et fonctionnement ainsi que la classification des dynamismes éruptifs. Étant donné la nature de ces domaines, les relations entre les termes sont variées. Elles sont génériques, notamment en ce qui concerne les divers matériaux volcaniques et les différents dynamismes éruptifs, partitives en ce qui concerne la structure d'un volcan, associatives (séquentielles) concernant les différentes phases que peut connaître un volcan, et associatives (topologiques) en particulier pour la manifestation de l'activité volcanique.
Pour l'élaboration des définitions, j'ai consulté principalement des dictionnaires des sciences de la terre ainsi qu'un guide encyclopédique des volcans, mais aussi des glossaires en ligne, notamment des glossaires en français, en anglais et en espagnol. En effet, le domaine des volcans est un sujet qui intéresse un grand nombre de personnes, d'où l'abondance de sites Internet dans ce domaine créés par des passionnés. Cependant, il est apparu que certaines définitions que l'on peut trouver soient imprécises, voire contradictoires ou bien trop complexes. À cet égard, je me suis rendu compte de l'importance de rencontrer des professionnels afin de faire le tri entre les informations. En effet, le vocabulaire utilisé par les professionnels et celui employé dans le domaine de la vulgarisation présente
parfois des différences.
Vous remarquerez en regardant mes fiches terminologiques que certains champs ne figurent pas, alors qu'ils sont présents sur la fiche-type que j'ai jointe. En effet, je n'ai pas eu l'utilité de tous les champs et
je ne les ai donc pas tous fait apparaître, ce qui permet une meilleure lisibilité.

Je trouvais intéressant de créer un champ annexe qui permette des renvois à des illustrations disponibles sur différents sites Internet qui complètent la définition du terme par une image. J'ai également créé un champ relation, dans lequel je précise le type de relation du terme avec celui qui lui est immédiatement supérieur. Les arborescences en pavet et graphique n'étant pas forcément toujours très clair, cela permet notamment de différencier les types de relations associatives (séquentielle ou topologique), ceux-ci se trouvant représentés sous la même forme dans l'arborescence.
Afin que l'arborescence graphique soit plus lisible j'ai préféré faire plusieurs arborescences.
Malgré tout, il m'a paru opportun de donner parfois des définitions plus générales, quand je le jugeais utile.
Enfin, j'ai fait figurer dans les champs concernant les autres liens, des concepts qui ne sont pas forcément traités dans ce dictionnaire, mais qu' il me paraissait intéressant de signaler dans le cas où le lecteur souhaiterais approfondir certaines questions relatives aux volcans.


- Limite et découpage

Dans cette perspective de répondre à des questions de base, j'ai essayé d'expliquer, à travers quatre-vingt-un concepts, différents domaines de la volcanologie. L'arborescence se divise en quatre domaines : géologie ; pétrographie ; volcanisme ; volcanologie, puis en dix-huit sous domaines, se rapportant principalement à la morphologie d'un volcan, aux différents mécanismes éruptifs ainsi qu'aux divers matériaux qui les accompagnent.


- Critères de constitution et caractéristique du corpus

J'ai utilisé divers ouvrages écrits, pour la plupart, par des volcanologues de renommée mondiale, pour effectuer mes recherches, ces derniers ont été une véritable source d'informations pour comprendre au mieux les différents concepts qu'englobe la volcanologie et qui d'autre part m'ont fourni des contextes variés pour mes termes. J'ai pu me procurer ces ouvrages notamment auprès de la l'association LAVE, Association Volcanologue Européenne, de la Bibliothèque Centrale du Museum National d'Histoire Naturelle, ainsi qu'auprès de la bibliothèque de l'Institut Cervantes, bibliothèque espagnole, pour la traduction des termes en espagnol. J'ai aussi utilisé la base de données lexis-nexis disponible à Paris III où plusieurs articles de journaux français sont regroupés, j'ai aussi utilisé ces derniers pour les contextes.
J'ai également utilisé des sites Internet, soit appartenants à des associations professionnelles consacrées à l'étude de la volcanologie, soit crées par des passionnés de volcans, qui m'ont également servi à trouver certains contextes. L'intérêt de ce travail porte sur la diversité des concepts, sur la difficulté que pose la recherche des équivalents en langue étrangère.


- Questions rencontrées et problématique

Mes principales difficultés ont étés d'ordre terminologique. La principale difficulté que j'ai rencontrée se réfère à l'élaboration de l'arborescence. En effet, j'ai souvent hésité entre plusieurs possibilités, et mon arborescence a subi de multiples modifications depuis la première ébauche, un même concept pouvant entrer dans plusieurs domaines différents.
Le choix des domaines, des sous domaines et la création de l'arborescence ont également été des étapes particulièrement difficiles. En effet il m'a fallu simplifier énormément mes arborescences en abandonnant certains termes qui me semblaient tout à fait intéressants mais qui n'avait pas toujours une relation directe avec certains termes et qui n'étaient donc pas toujours cohérents avec le reste du travail.
En ce qui concerne l'arborescence, afin d'avoir une meilleure visibilité sur la version graphique, j'ai préféré ne mettre en valeur que les trois grands types de relations entre les termes : relations génériques, partitives et associatives. Je joins également une version en pavé de l'arborescence, en signalant que cette présentation a l'inconvénient qu'on ne peut préciser les types de relations entre les termes, et que certains se retrouvent sur le même niveau alors que chaque terme correspond à un champ différent, par exemple un terme peut correspondre à une partie du terme supérieur et un autre à une espèce.
Enfin, un autre problème rencontré a été la difficulté de trouver des équivalents en anglais et espagnol qui soient fiables, car quelques fois certains dictionnaires n'étaient pas toujours d'accord sur l'équivalence de la traduction, c'est pourquoi en cas de forte hésitation (je n'ai pas réussi à trouver deux équivalents espagnol : cône égueulé ; cône emboîté), j'ai préféré m'abstenir de donner une traduction, cette dernière pouvant s'avérer être erronée.

CONCLUSION


Ce travail de terminologie a été l'occasion d'appréhender les réalités physiques d'un volcan qui, pour moi, soulevait encore beaucoup de questions. J'espère que ce dictionnaire permettra au lecteur de mieux comprendre certaines notions relatives à la volcanologie, et qu'il lui donnera l'envie de s'intéresser de plus près aux volcans qui est un sujet très vaste, riche en information et véritablement passionnant.
Cependant il est préférable de considérer avec prudence les informations grand public que l'on est susceptible de trouver, en particulier sur Internet.

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