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Termes
traités dans ce mémoire

Post-production et doublage au cinéma
Français,anglais,espagnol

Sandrine Dubuisson

Maitrise LEA - 2002 / 2003 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker


Sommaire

Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire

Bibliographie


Remerciements

Je remercie tout particulièrement Mademoiselle Géraldine ROQUIER pour m'avoir permis de rencontrer des spécialistes de la traduction et du doublage dans les locaux des Laboratoires ECLAIR.
D'autre part, je remercie Madame Déborah MOKRANE pour avoir eu la gentillesse de solliciter ses connaissances dans la société de post-production et de doublage, CINEPHASE.
Enfin, je tiens à remercier également Ludmilla BIJAOUI, Manon SERVE, Rachel CAMPARD, Michelle THOMAS, Emilie BARATCHART et Cathy DUBUISSON pour leur contribution et leur disponibilité.


INTRODUCTION

INTRODUCTION GÉNÉRALE 

Ce mémoire englobe plusieurs domaines, le principal étant le doublage. Les autres domaines, à savoir les métiers de l'audiovisuel et de la post-production, la synchronisation, le mixage, le son, ou encore différentes techniques cinématographiques sont complémentaires au domaine général du doublage.


Dans le but de pouvoir déchiffrer tous les termes techniques qui se rapportent au domaine principal, mais qui n'en font néanmoins pas parti, j'ai délibérément élargi mon sujet, le titre étant maintenant « Post-production et doublage au cinéma» au lieu de « Le doublage », titre prévu initialement.


J'ai donc privilégié un élargissement du sujet plutôt que de me limiter au seul domaine du doublage, étant donné que de nombreux termes techniques provenant d'autres spécialités faisaient obstacle à mon travail.


INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE 

Je voulais au départ, me concentrer uniquement sur le domaine du sous-titrage, c'est en effet une spécialité qui m'intéresse beaucoup et qui entre d'ailleurs dans le cadre du DESS en traduction audiovisuelle auquel je me destine l'année prochaine.
Mais c'est au fur et mesure des rencontres avec différents professionnels que j'ai élargi mon sujet à des domaines comme la détection par exemple, domaine qui m'était totalement inconnu auparavant.

J'ai pu tout d'abord rencontrer une traductrice en audiovisuel au Laboratoire ECLAIR, et ce, grâce à un membre de ma famille. Cette traductrice m'a recommandé auprès d'une détectrice travaillant chez CINEPHASE qui m'a elle même présenté une adaptatrice et une recorder. Une chaîne de rencontres a pu donc s'établir.
Leurs spécialités respectives m'ont parues intéressantes et rejoignaient toutes les domaines du cinéma et de l'audiovisuel, j'ai donc décidé de garder comme thème central le doublage tout en y intégrant des termes auxquels j'étais souvent confronté en parcourant des textes et en écoutant des professionnels.
A plusieurs reprises, j'ai rencontré des termes propres au domaine du son dans des écrits sur la traduction audiovisuelle et cela me gênait souvent pour saisir totalement le contexte. J'ai donc décidé de définir des termes appartenant à des spécialités comme le son, le mixage ou encore le tournage qui étaient récurrents dans les textes, et ce, pour favoriser une totale compréhension de mon corpus.

L'objectif de ce mémoire est de proposer un support, certes non exhaustif, à la lecture de textes techniques portant sur la traduction audiovisuelle et le doublage et la post-synchronisation plus particulièrement, et autres domaines comme la détection par exemple.
En effet, comme nous sommes confrontés à des textes techniques, la terminologie de spécialité est souvent une barrière à une compréhension optimale du texte. De plus, si nous sommes amenés à traduire ce genre de textes vers une langue étrangère, cela relève quasiment de l'impossible, car sans avoir saisi parfaitement le sens du texte, la traduction ne pourra être que médiocre.
C'est pour cette raison que les quatre-vingt termes de ce mémoire sont susceptibles d'aider une personne qui butterait sur un problème de terminologie.
Chacun des termes à été défini avec la contribution d'un spécialiste du domaine ou avec l'aide de livres spécialisés et autres encyclopédies. Ainsi, je pense que les fiches terminologiques sont relativement fiables.
Quant aux limites du mémoire, comme je l'ai exposé auparavant, je me suis d'abord concentrée sur un éventail de domaines afin que ce travail terminologique serve à « mieux lire » les textes techniques. Le choix des termes s'est donc fait au gré des rencontres et des différentes lectures.
Concernant le corpus, j'ai d'une part cherché des écrits sur la traduction audiovisuelle. J'ai ensuite demandé directement des conseils aux différents spécialistes. Ainsi, les contextes qui complètent les fiches terminologiques sont souvent oraux.
D'autre part, j'ai tenté de définir quelques néologismes inventés par l'auteur Michel CHION, termes rencontrés à plusieurs reprises dans ses livres.
Ainsi fut mon critère principal de sélection, m'attarder sur les termes vagues récurrents se rapportant aux domaines de la traduction audiovisuelle, du cinéma et de son entourage.

Par ailleurs, quelques problèmes ont ralenti mon travail.
D'abord, le fait qu'il existe assez peu d'écrits sur le doublage ou le sous-titrage. Il se trouve qu'une des professionnelles m'a aimablement prêté quelques livres sur le sujet et je possédais par ailleurs les coordonnées de tous en cas de besoin.
Une autre difficulté fut la gestion du temps.
Je n'ai pu rencontrer chacun des professionnels que quelques fois car, je l'ai appris en les observant, une des caractéristiques principales des métiers de l'audiovisuel, est que l'on travaille dans l'urgence perpétuellement.
J'aurais voulu être un peu plus curieuse sur certains points du métier mais je ne pouvais empiéter davantage sur leur temps précieux.

Finalement, ma problématique fut de répondre à mes propres interrogations sur le sujet. Pour citer un exemple, la différence entre les termes « voix off » et « voix over », ou encore, la signification de « synchronisation » ou même de « détection », termes par ailleurs inévitables dans les métiers du doublage, ne sont maintenant plus des mystères à mes yeux.
J'ai donc tenté d'élaborer un mini-dictionnaire susceptible d'intéresser les amateurs de traduction audiovisuelle et de faciliter l'approche de ce genre de textes techniques.


BIBLIOGRAPHIE

Je voulais au départ, me concentrer uniquement sur le domaine du sous-titrage, c'est en effet une spécialité qui m'intéresse beaucoup et qui entre d'ailleurs dans le cadre du DESS en traduction audiovisuelle auquel je me destine l'année prochaine.
Mais c'est au fur et mesure des rencontres avec différents professionnels que j'ai élargi mon sujet à des domaines comme la détection par exemple, domaine qui m'était totalement inconnu auparavant.

J'ai pu tout d'abord rencontrer une traductrice en audiovisuel au Laboratoire ECLAIR, et ce, grâce à un membre de ma famille. Cette traductrice m'a recommandé auprès d'une détectrice travaillant chez CINEPHASE qui m'a elle même présenté une adaptatrice et une recorder. Une chaîne de rencontres a pu donc s'établir.
Leurs spécialités respectives m'ont parues intéressantes et rejoignaient toutes les domaines du cinéma et de l'audiovisuel, j'ai donc décidé de garder comme thème central le doublage tout en y intégrant des termes auxquels j'étais souvent confronté en parcourant des textes et en écoutant des professionnels.
A plusieurs reprises, j'ai rencontré des termes propres au domaine du son dans des écrits sur la traduction audiovisuelle et cela me gênait souvent pour saisir totalement le contexte. J'ai donc décidé de définir des termes appartenant à des spécialités comme le son, le mixage ou encore le tournage qui étaient récurrents dans les textes, et ce, pour favoriser une totale compréhension de mon corpus.

L'objectif de ce mémoire est de proposer un support, certes non exhaustif, à la lecture de textes techniques portant sur la traduction audiovisuelle et le doublage et la post-synchronisation plus particulièrement, et autres domaines comme la détection par exemple.
En effet, comme nous sommes confrontés à des textes techniques, la terminologie de spécialité est souvent une barrière à une compréhension optimale du texte. De plus, si nous sommes amenés à traduire ce genre de textes vers une langue étrangère, cela relève quasiment de l'impossible, car sans avoir saisi parfaitement le sens du texte, la traduction ne pourra être que médiocre.
C'est pour cette raison que les quatre-vingt termes de ce mémoire sont susceptibles d'aider une personne qui butterait sur un problème de terminologie.
Chacun des termes à été défini avec la contribution d'un spécialiste du domaine ou avec l'aide de livres spécialisés et autres encyclopédies. Ainsi, je pense que les fiches terminologiques sont relativement fiables.
Quant aux limites du mémoire, comme je l'ai exposé auparavant, je me suis d'abord concentrée sur un éventail de domaines afin que ce travail terminologique serve à « mieux lire » les textes techniques. Le choix des termes s'est donc fait au gré des rencontres et des différentes lectures.
Concernant le corpus, j'ai d'une part cherché des écrits sur la traduction audiovisuelle. J'ai ensuite demandé directement des conseils aux différents spécialistes. Ainsi, les contextes qui complètent les fiches terminologiques sont souvent oraux.
D'autre part, j'ai tenté de définir quelques néologismes inventés par l'auteur Michel CHION, termes rencontrés à plusieurs reprises dans ses livres.
Ainsi fut mon critère principal de sélection, m'attarder sur les termes vagues récurrents se rapportant aux domaines de la traduction audiovisuelle, du cinéma et de son entourage.

Par ailleurs, quelques problèmes ont ralenti mon travail.
D'abord, le fait qu'il existe assez peu d'écrits sur le doublage ou le sous-titrage. Il se trouve qu'une des professionnelles m'a aimablement prêté quelques livres sur le sujet et je possédais par ailleurs les coordonnées de tous en cas de besoin.
Une autre difficulté fut la gestion du temps.
Je n'ai pu rencontrer chacun des professionnels que quelques fois car, je l'ai appris en les observant, une des caractéristiques principales des métiers de l'audiovisuel, est que l'on travaille dans l'urgence perpétuellement.
J'aurais voulu être un peu plus curieuse sur certains points du métier mais je ne pouvais empiéter davantage sur leur temps précieux.

Finalement, ma problématique fut de répondre à mes propres interrogations sur le sujet. Pour citer un exemple, la différence entre les termes « voix off » et « voix over », ou encore, la signification de « synchronisation » ou même de « détection », termes par ailleurs inévitables dans les métiers du doublage, ne sont maintenant plus des mystères à mes yeux.
J'ai donc tenté d'élaborer un mini-dictionnaire susceptible d'intéresser les amateurs de traduction audiovisuelle et de faciliter l'approche de ce genre de textes techniques.

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