Terminalf

L'anatomie du chat
Français,anglais

Isabelle Jubier

Maitrise LEA - 2003 / 2004 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker

Je tiens à remercier tout particulièrement le Docteur WILMET qui s'est toujours montré disponible et très enthousiaste, qui a eu la gentillesse de relire à chaque fois mes fiches, et ce, toujours très rapidement, ainsi que de m'avoir validé mon mémoire. Je remercie ma famille qui m'a toujours soutenue, surtout dans mes moments difficiles avec Access, même si elle ne comprenait pas de quoi il s'agissait.
Enfin, je remercie ma réviseur, Mme PECQUERY, qui m'a épaulé tout au long de la réalisation du mémoire.

De tout temps, le chat a suscité un grand intérêt chez les hommes. Tout d'abord élevé au rang des dieux par les Egyptiens dans l'Antiquité sous la forme de la déesse Bastet, puis haï par les Occidentaux au Moyen Age car soupçonné d'être de connivence avec les sorcières, le chat n'a jamais laissé personne indifférent. Le mystère qui l'entoure y est pour beaucoup : le chat n'a pas un caractère aussi limpide que celui d'un chien, le chat est ingrat, indépendant, rancunier, majestueux, coquet, beau dans toutes les situations, de par son incroyable sens de la propreté, compréhensif, drôle, attentionné et c'est tout cela qui est fascinant. De plus, j'ai toujours vécu avec des chats et je ne peux plus concevoir ma vie sans eux à présent, ils m'ont ensorcelée.
C'est pour toutes ces raisons que j'ai décidé de traiter de l'anatomie des chats dans ce mémoire. En effet, c'est un aspect du chat sur lequel je ne m'étais jamais encore penchée et qui promettait d'être d'autant plus intéressant. De plus, ayant déjà réalisé un projet Access en début d'année sur les races de chats, j'ai pu, grâce à ce mémoire élargir mon éventail de connaissances sur les chats, lesquelles sont aujourd'hui plus qu'approfondies.

Trouver des livres qui traitent de l'anatomie du chat, n'a pas été une mince affaire. En effet, j'ai beau avoir de nombreux livres sur les chats, ils sont tous articulés de la même manière : les races de chats et les photos correspondantes. Et ce n'est pas cela qui m'intéressait, il me fallait un livre à caractère scientifique et c'est à la bibliothèque Mouffetard que j'ai pu enfin trouver mon bonheur. L'encyclopédie du chat du Dr. Rousselet-Blanc et le vétérinaire qui a vu défilé tous les chats qui ont fait partie de ma vie, le Dr. WILMET, m'ont été d'un grand secours pour la réalisation de ce mémoire.

La terminologie de l'anatomie du chat étudiée ici ne s'adresse pas seulement aux passionnés de chats comme moi, mais elle peut également intéresser les vétérinaires, les éditeurs de livres sur les chats, les magazines à caractère animalier, bref, tout ceux qui occupent un travail ayant à trait à l'environnement du chat.

J'ai procédé de la manière suivante, suite à la découverte de schémas représentant quatre domaines de l'anatomie du chat : j'ai étudié ces schémas en suivant les flèches qui désigne tel ou tel membre dans le sens des aiguilles d'une montre, et ce toujours en partant de la tête et en remontant pour finir le long du dos (sauf pour le descriptif des coussinets et des griffes où j'ai parcouru les termes de haut en bas) pour respecter une certaine logique. En effet, je ne pouvais en aucun cas traiter les termes par ordre alphabétique car donner le sens d'un muscle puis d'un os puis d'un organe ou d'un autre muscle n'aurait eu aucun sens. De plus dans tous les livres que j'ai consultés, les spécialistes de ces domaines expliquaient toujours les termes en partant de la tête et en remontant dans le sens des aiguilles d'une montre, c'est pourquoi la classification des fiches suit cette même logique, qui est reprise sur les schémas.

J'ai ensuite procédé au découpage des domaines comme suit :
•pour la morphologie, j'ai regroupé les termes dans l'arborescence suivante : la tête, le tronc, les pattes antérieures et les pattes postérieures.
•pour le squelette : la colonne vertébrale, sur laquelle tous les os reposent, la tête, le membre antérieur et le membre postérieur.
•pour la musculature : la tête, le dos, la patte antérieure, la patte postérieure et à l'intérieur chacun des muscles qui constituent ces parties.
•pour les organes : l'appareil cardio-respiratoire, l'appareil digestif et l'appareil uro-génital.

* A l'intérieur du domaine de la morphologie, on trouvera quels termes appartiennent à la tête, quels autres appartiennent au tronc, lesquels constituent la patte antérieure et lesquels, la patte postérieure.
* Pour le squelette, les os sont regroupés en : colonne vertébrale (cervicales, thoraciques, lombaires, sacrées soudées), pour la tête les termes sont regroupés en cavité encéphalique et cavité faciale, suit ensuite le membre antérieur et tout ce qui le constitue (l'épaule, l'humérus, le radius et l'ulna et la main) ; le membre postérieur est lui constitué de la ceinture pelvienne, du grasset et du pied (Remarque : une réserve est exprimée quant à l'utilisation du terme main et pied quand on parle du chat, ces termes étant ici employés dans un souci de précision. De plus ils étaient utiles dans les arborescences pour la cohérence des ensembles et sont présents dans L'Encyclopédie du chat du Dr. Rousselet-Blanc).
* Pour les muscles, ils se divisent en quatre parties : les muscles de la tête (muscles de la face, muscles mobilisant la mandibule, muscles fléchisseurs de l'encolure), les muscles du dos (muscles extenseurs de la colonne vertébrale, muscles fléchisseurs des lombes), les muscles de la patte antérieure (muscles fléchisseurs, muscles extenseurs et muscles de la main) et les muscles de la patte postérieure (muscles extenseurs de la cuisse, muscles extenseurs, muscles fléchisseurs, et muscles du pied). N.B. : même remarque que précédemment pour l'utilisation des termes main et pied mais ceci est toujours dans un but de précision pour la localisation des membres et de ce qui les constitue.
* Pour les organes, ils ont été regroupés sous les dénominations d'appareil cardio-respiratoire, d'appareil digestif et d'appareil uro-génital.

La problématique constante était incarnée par le souci de cohérence du traitement des termes.
C'est ainsi que j'ai opté pour un suivi circulaire des schémas pour respecter la logique de la constitution du chat.

De plus, il ne fut pas évident de trouver les termes anglais correspondants aux os, aux muscles etc. Il m'a fallu effectuer quelques recherches sur internet pour trouver le mémoire d'un anglais sur les muscles ; je pus alors constater que les anglais conservaient les termes latins pour la médecine.

Mais toutes ces recherches ont fini par porter leurs fruits et contribuer à la pérennité de mon enthousiasme, puisque j'étais ainsi parée à entamer la réalisation de mon projet.

Ce mémoire m'a permis d'approfondir mes connaissances, qui étaient déjà nombreuses, sur le chat et je peux dire maintenant que je « sais ce qu'il cache à l'intérieur », mais il n'en reste pas moins tout aussi mystérieux et fascinant.

Trouver des livres qui traitent de l'anatomie du chat, n'a pas été une mince affaire. En effet, j'ai beau avoir de nombreux livres sur les chats, ils sont tous articulés de la même manière : les races de chats et les photos correspondantes. Et ce n'est pas cela qui m'intéressait, il me fallait un livre à caractère scientifique et c'est à la bibliothèque Mouffetard que j'ai pu enfin trouver mon bonheur. L'encyclopédie du chat du Dr. Rousselet-Blanc et le vétérinaire qui a vu défilé tous les chats qui ont fait partie de ma vie, le Dr. WILMET, m'ont été d'un grand secours pour la réalisation de ce mémoire.

La terminologie de l'anatomie du chat étudiée ici ne s'adresse pas seulement aux passionnés de chats comme moi, mais elle peut également intéresser les vétérinaires, les éditeurs de livres sur les chats, les magazines à caractère animalier, bref, tout ceux qui occupent un travail ayant à trait à l'environnement du chat.

J'ai procédé de la manière suivante, suite à la découverte de schémas représentant quatre domaines de l'anatomie du chat : j'ai étudié ces schémas en suivant les flèches qui désigne tel ou tel membre dans le sens des aiguilles d'une montre, et ce toujours en partant de la tête et en remontant pour finir le long du dos (sauf pour le descriptif des coussinets et des griffes où j'ai parcouru les termes de haut en bas) pour respecter une certaine logique. En effet, je ne pouvais en aucun cas traiter les termes par ordre alphabétique car donner le sens d'un muscle puis d'un os puis d'un organe ou d'un autre muscle n'aurait eu aucun sens. De plus dans tous les livres que j'ai consultés, les spécialistes de ces domaines expliquaient toujours les termes en partant de la tête et en remontant dans le sens des aiguilles d'une montre, c'est pourquoi la classification des fiches suit cette même logique, qui est reprise sur les schémas.

J'ai ensuite procédé au découpage des domaines comme suit :
•pour la morphologie, j'ai regroupé les termes dans l'arborescence suivante : la tête, le tronc, les pattes antérieures et les pattes postérieures.
•pour le squelette : la colonne vertébrale, sur laquelle tous les os reposent, la tête, le membre antérieur et le membre postérieur.
•pour la musculature : la tête, le dos, la patte antérieure, la patte postérieure et à l'intérieur chacun des muscles qui constituent ces parties.
•pour les organes : l'appareil cardio-respiratoire, l'appareil digestif et l'appareil uro-génital.

* A l'intérieur du domaine de la morphologie, on trouvera quels termes appartiennent à la tête, quels autres appartiennent au tronc, lesquels constituent la patte antérieure et lesquels, la patte postérieure.
* Pour le squelette, les os sont regroupés en : colonne vertébrale (cervicales, thoraciques, lombaires, sacrées soudées), pour la tête les termes sont regroupés en cavité encéphalique et cavité faciale, suit ensuite le membre antérieur et tout ce qui le constitue (l'épaule, l'humérus, le radius et l'ulna et la main) ; le membre postérieur est lui constitué de la ceinture pelvienne, du grasset et du pied (Remarque : une réserve est exprimée quant à l'utilisation du terme main et pied quand on parle du chat, ces termes étant ici employés dans un souci de précision. De plus ils étaient utiles dans les arborescences pour la cohérence des ensembles et sont présents dans L'Encyclopédie du chat du Dr. Rousselet-Blanc).
* Pour les muscles, ils se divisent en quatre parties : les muscles de la tête (muscles de la face, muscles mobilisant la mandibule, muscles fléchisseurs de l'encolure), les muscles du dos (muscles extenseurs de la colonne vertébrale, muscles fléchisseurs des lombes), les muscles de la patte antérieure (muscles fléchisseurs, muscles extenseurs et muscles de la main) et les muscles de la patte postérieure (muscles extenseurs de la cuisse, muscles extenseurs, muscles fléchisseurs, et muscles du pied). N.B. : même remarque que précédemment pour l'utilisation des termes main et pied mais ceci est toujours dans un but de précision pour la localisation des membres et de ce qui les constitue.
* Pour les organes, ils ont été regroupés sous les dénominations d'appareil cardio-respiratoire, d'appareil digestif et d'appareil uro-génital.

La problématique constante était incarnée par le souci de cohérence du traitement des termes.
C'est ainsi que j'ai opté pour un suivi circulaire des schémas pour respecter la logique de la constitution du chat.

De plus, il ne fut pas évident de trouver les termes anglais correspondants aux os, aux muscles etc. Il m'a fallu effectuer quelques recherches sur internet pour trouver le mémoire d'un anglais sur les muscles ; je pus alors constater que les anglais conservaient les termes latins pour la médecine.

Mais toutes ces recherches ont fini par porter leurs fruits et contribuer à la pérennité de mon enthousiasme, puisque j'étais ainsi parée à entamer la réalisation de mon projet.

Ce mémoire m'a permis d'approfondir mes connaissances, qui étaient déjà nombreuses, sur le chat et je peux dire maintenant que je « sais ce qu'il cache à l'intérieur », mais il n'en reste pas moins tout aussi mystérieux et fascinant.

J'ai également pu élargir mes connaissances en anglais au niveau médical, ce qui n'est pas négligeable.

De plus, j'ai pu côtoyer le monde vétérinaire de plus près ce qui ne m'a pas déplu un seul instant puisque, petite, je voulais exercer ce métier et à défaut de n'avoir pu concrétiser ce rêve, il n'en demeure pas moins que j'ai pu, grâce à ce projet, pénétrer dans les coulisses d'un cabinet vétérinaire et en ai tirer une grande satisfaction au fil de mes découvertes, tellement ce domaine est enrichissant et passionnant.

Depuis le début de la réalisation de ce mémoire, du moment où il fallait choisir son sujet jusqu'à la fin, mon enthousiasme n'a cessé de croître et, au final, je n'en ai tiré que du bonheur.