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du mémoire



Termes
traités dans ce mémoire

Les composants de l'ordinateur
Français,anglais

Marie-Aimée Stanislas

Maitrise LEA - 2002 / 2003 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker


Sommaire

Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire
Arborescences
Bibliographie


Remerciements


Je tiens à remercier tout particulièrement :


Cédric Stanislas et Yannick Mauriello, qui m'ont gracieusement offert de leur temps pour m'aider à comprendre toutes les complexités du sujet que je traite dans ce mémoire. Je les remercie également d'avoir relu et validé l'intégralité des fiches du présent mémoire.

Maud Mercier, qui malgré un emploi du temps très chargé, a pris la peine de relire mon mémoire.


INTRODUCTION

INTRODUCTION GÉNÉRALE 

Souvent lorsque l'on souhaite acquérir un nouvel ordinateur ou un nouveau composant pour rendre son installation informatique plus performante, on a recours aux précieux guides d'achat, proposés par des enseignes spécialisées, et autres revues informatiques. Bien qu'ils ne soient pas destinés aux professionnels, ces guides peuvent très vite devenir un véritable casse-tête pour les débutants. En effet, même avec une bonne connaissance de Windows, des logiciels et des suites bureautiques, on peut très vite se retrouver désemparé face à un texte comme celui qui suit :

« Une carte mère normalement équipée dispose de deux connecteurs IDE qui permettent la prise en charge de 2 périphériques chacun, soit un total de quatre périphériques. Mais attention, cela ne signifie pas que vous pourrez mettre 4 disques durs dans votre PC. Les lecteurs de CD et autres graveurs utilisent eux aussi ces connecteurs. En général, dans un pc normalement équipé, il ne reste qu'un seul connecteur de libre à savoir que deux sont utilisés par votre graveur et votre lecteur de CD ou DVD et un troisième est utilisé par votre disque dur. Si jamais vous avez plus de quatre périphériques IDE à brancher dans votre PC, vous avez toutefois la possibilité d'ajouter une carte contrôleur IDE PCI qui vous offrirait 2 connecteurs IDE supplémentaires soit la possibilité de brancher quatre périphériques de plus (Donc 8 au total) . »
Source : www.surcouf.com, Guide d'achat Disques durs comprendre...et bien les choisir!

Comment choisir le disque dur adéquat si l'on ne sait ce qu'est une carte mère, un connecteur ou encore une carte contrôleur IDE PCI ? C'est dans ce genre de situation que l'on se rend compte qu'il n'existe pas un domaine informatique mais deux parties bien distinctes et pourtant indissociables. La première partie est la partie « software » (ou « logiciel » en français). Cette partie « software » se compose de trois catégories de logiciels : les logiciels de base comme le système d'exploitation, les utilitaires, les langages comme le programme Basic, et les programmes d'application (Traitement de texte, comptabilité, base de données ...). A cela s'oppose la partie dite « hardware ». Ces deux parties sont indispensables au bon fonctionnement de l'ordinateur.

Dans ce mémoire, je vais traiter uniquement de la partie « hardware », soit des composants matériels qui constituent l'ordinateur. A travers les 82 fiches du corpus, je vais définir le rôle des principaux composants et expliquer les diverses relations qui les lient entre eux.

Choix du sujet

Au début du projet, je m'étais tournée vers le thème de l'Internet sans en avoir délimiter un sujet en particulier. J'ai changé de sujet lorsque mon ordinateur est tombé en panne. Il m'a fallu tout d'abord déterminer l'origine de la panne, bien que tout matériel informatique, m'étais à l'époque tout à fait étranger. Pourtant, ce n'était pas la tâche la plus ardue. En effet, après avoir localisé la panne, il me restait à écrire au service de garantie de la société d'où provenait mon composant qui était situé en Angleterre. C'est alors que me sont venues les questions suivantes : « Comment savoir si les termes que j'emploie sont les bons ? Est-ce que je les définis de la même façon que le service de garantie ? Quels sont leurs équivalents en anglais ? » En me posant toutes ces questions, je me suis rendue compte qu'il s'agissait des mêmes problèmes que l'on rencontre habituellement lors d'études terminologiques.

Ainsi, mon sujet était trouvé ainsi que la directive que j'allais prendre pour rédiger mon mémoire. De plus, mon expérience m'a permis plus facilement de viser un public précis- ce qui m'a énormément aidé lors de la rédaction du mémoire, en particulier lors du choix des termes que j'allais traiter. Mon mémoire est davantage destiné à un public ayant certaines connaissances de l'informatique mais qui reste encore étranger au domaine du « hardware », qu'aux professionnels.


INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE 


1)Recherche

Avant de commencer la conception des fiches terminologiques, j'ai du entreprendre un travail de recherche et de documentation afin de me familiariser davantage avec le sujet.
J'ai donc débuté par la lecture de revues de vulgarisation informatique. Je me suis plus particulièrement basée sur les articles du site Commentcamarche.net. J'ai délibérément écarté les documents trop professionnels car je voulais respecter l'objectif de mon mémoire, c'est-à-dire élaborer un dictionnaire accessible à un public débutant. Afin de parfaire mes connaissances, j'ai fait appel aux contributeurs pour qu'ils m'éclairent sur certains termes que je saisissais mal.
Cette première phase de mon travail m'a permis d'avoir des connaissances assez solides, ce qui m'a principalement aidé lors de la rédaction des définitions.


2)La sélection des termes

Avant toute sélection, je me suis efforcée de garder en tête mon objectif. C'est pour cette raison que, parmi tous les termes que j'avais relevés au cours de mes lectures, je n'ai gardé que ceux que je jugeais être des termes de base (par exemple, « disque dur »), ceux que l'on retrouve fréquemment dans les revues ou les guides d'achat. J'ai également retiré les termes qui demandent trop de connaissance en informatique et ceux qui s'éloignent trop du domaine « hardware ». Cependant, cette deuxième phase n'a pas été la plus aisée.

En effet, certains termes ne font pas partie du domaine « hardware » mais sont tout de même indispensables à la compréhension du fonctionnement de l'ordinateur ou de ses composants. Par exemple, le terme « système d'exploitation » appartient au domaine « software ». Pourtant, il permet de comprendre le lien qui existe entre les composants d'un ordinateur et les applications lancées par l'utilisateur. De même pour « pilote » qui permet de comprendre comment l'utilisateur peut utiliser les périphériques via son PC. Après avoir longuement hésité, j'ai finalement décidé de conserver ces termes car j'ai jugé qu'ils étaient utiles et surtout indispensables pour un débutant.


3)La conception des fiches

Une fois ma sélection faite, un nouveau problème s'est posé à moi lors de la rédaction des fiches terminologiques. En consultant divers sites internet, j'ai remarqué qu'un grand nombre de termes sont utilisés, dans la langue française, sous leurs formes anglaises (même s'ils ont un équivalent en français). On peut citer l'exemple du terme « webcam » qui est davantage préféré au terme « camirette ». Mon dictionnaire étant destiné à un public débutant et francophone, il m'a semblé que mettre les termes en entrée sous leurs formes françaises permettait au lecteur de les retenir et d'en saisir le sens plus simplement (par exemple, « port série universel » au lieu de « USB »). Cependant, ces termes sont usités dans le jargon informatique. En préférant l'emploi de termes anglais, je me suis retrouvée avec le problème inverse : ces termes sont peu compréhensibles, pourtant, ce sont ceux que l'on retrouve dans les revues spécialisées. Dans l'optique de mon mémoire, j'ai pensé qu'il était plus judicieux de prendre les termes anglais.
J'ai eu la même hésitation en ce qui concerne la graphie des termes. Par exemple, la graphie « cédérom », bien qu'elle soit officielle, est moins utilisée que « cd-rom ». Encore une fois, j'ai préféré garder les graphies que l'on retrouvait le plus souvent.
Ainsi, lorsqu'un utilisateur recherche un terme qu'il a relevé dans un article, il lui sera plus facile de le retrouver tel quel en terme en entrée dans le dictionnaire. Si le terme en question est uniquement mentionné en tant que forme concurrente, le lecteur risque de passer à côté de la définition qu'il recherche.

J'ai également eu quelques problèmes pour déterminer les domaines et les sous domaines. Ma première erreur était de vouloir commencer par remplir les champs « domaine » et « sous domaine » avant même d'avoir rédigé la définition. Lorsque j'ai commencé à faire mes arborescences, je me suis rendue compte que les domaines que j'avais choisis étaient trop vagues. J'ai du réorganisé totalement mon travail en classifiant les termes seulement après avoir fait mes définitions.



L'élaboration de ce mémoire m'a énormément appris sur le domaine du « hardware », domaine que je n'osais aborder car je pensais qu'il était uniquement réservé aux professionnels. Lorsque j'ai terminé ce travail, je me suis rapidement rendue compte que j'avais été pendant longtemps dans l'erreur. Désormais, j'arrive mieux à détecter les petites pannes de mon ordinateur voire même à les résoudre. J'espère qu'il en sera de même pour mes futurs lecteurs.


BIBLIOGRAPHIE


1)Recherche

Avant de commencer la conception des fiches terminologiques, j'ai du entreprendre un travail de recherche et de documentation afin de me familiariser davantage avec le sujet.
J'ai donc débuté par la lecture de revues de vulgarisation informatique. Je me suis plus particulièrement basée sur les articles du site Commentcamarche.net. J'ai délibérément écarté les documents trop professionnels car je voulais respecter l'objectif de mon mémoire, c'est-à-dire élaborer un dictionnaire accessible à un public débutant. Afin de parfaire mes connaissances, j'ai fait appel aux contributeurs pour qu'ils m'éclairent sur certains termes que je saisissais mal.
Cette première phase de mon travail m'a permis d'avoir des connaissances assez solides, ce qui m'a principalement aidé lors de la rédaction des définitions.


2)La sélection des termes

Avant toute sélection, je me suis efforcée de garder en tête mon objectif. C'est pour cette raison que, parmi tous les termes que j'avais relevés au cours de mes lectures, je n'ai gardé que ceux que je jugeais être des termes de base (par exemple, « disque dur »), ceux que l'on retrouve fréquemment dans les revues ou les guides d'achat. J'ai également retiré les termes qui demandent trop de connaissance en informatique et ceux qui s'éloignent trop du domaine « hardware ». Cependant, cette deuxième phase n'a pas été la plus aisée.

En effet, certains termes ne font pas partie du domaine « hardware » mais sont tout de même indispensables à la compréhension du fonctionnement de l'ordinateur ou de ses composants. Par exemple, le terme « système d'exploitation » appartient au domaine « software ». Pourtant, il permet de comprendre le lien qui existe entre les composants d'un ordinateur et les applications lancées par l'utilisateur. De même pour « pilote » qui permet de comprendre comment l'utilisateur peut utiliser les périphériques via son PC. Après avoir longuement hésité, j'ai finalement décidé de conserver ces termes car j'ai jugé qu'ils étaient utiles et surtout indispensables pour un débutant.


3)La conception des fiches

Une fois ma sélection faite, un nouveau problème s'est posé à moi lors de la rédaction des fiches terminologiques. En consultant divers sites internet, j'ai remarqué qu'un grand nombre de termes sont utilisés, dans la langue française, sous leurs formes anglaises (même s'ils ont un équivalent en français). On peut citer l'exemple du terme « webcam » qui est davantage préféré au terme « camirette ». Mon dictionnaire étant destiné à un public débutant et francophone, il m'a semblé que mettre les termes en entrée sous leurs formes françaises permettait au lecteur de les retenir et d'en saisir le sens plus simplement (par exemple, « port série universel » au lieu de « USB »). Cependant, ces termes sont usités dans le jargon informatique. En préférant l'emploi de termes anglais, je me suis retrouvée avec le problème inverse : ces termes sont peu compréhensibles, pourtant, ce sont ceux que l'on retrouve dans les revues spécialisées. Dans l'optique de mon mémoire, j'ai pensé qu'il était plus judicieux de prendre les termes anglais.
J'ai eu la même hésitation en ce qui concerne la graphie des termes. Par exemple, la graphie « cédérom », bien qu'elle soit officielle, est moins utilisée que « cd-rom ». Encore une fois, j'ai préféré garder les graphies que l'on retrouvait le plus souvent.
Ainsi, lorsqu'un utilisateur recherche un terme qu'il a relevé dans un article, il lui sera plus facile de le retrouver tel quel en terme en entrée dans le dictionnaire. Si le terme en question est uniquement mentionné en tant que forme concurrente, le lecteur risque de passer à côté de la définition qu'il recherche.

J'ai également eu quelques problèmes pour déterminer les domaines et les sous domaines. Ma première erreur était de vouloir commencer par remplir les champs « domaine » et « sous domaine » avant même d'avoir rédigé la définition. Lorsque j'ai commencé à faire mes arborescences, je me suis rendue compte que les domaines que j'avais choisis étaient trop vagues. J'ai du réorganisé totalement mon travail en classifiant les termes seulement après avoir fait mes définitions.



L'élaboration de ce mémoire m'a énormément appris sur le domaine du « hardware », domaine que je n'osais aborder car je pensais qu'il était uniquement réservé aux professionnels. Lorsque j'ai terminé ce travail, je me suis rapidement rendue compte que j'avais été pendant longtemps dans l'erreur. Désormais, j'arrive mieux à détecter les petites pannes de mon ordinateur voire même à les résoudre. J'espère qu'il en sera de même pour mes futurs lecteurs.

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