Présentation des mémoires de terminologie
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La facture instrumentale du piano, ainsi que l'évolution de celui-ci
Français,anglaisLalao Bakoly Andrianaivoravelona
Maitrise LEA - 2000 / 2001 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker
Sommaire
Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire
Bibliographie
Je tiens à adresser mes plus vifs remerciement à M. Gérard Fauvin, pour sa disponibilité, et son professionalisme.
Je tiens également à remercier M. François de Palaminy, grand mélomane, pour sa gentillesse, son écoute, et les bons conseils prodigués.
INTRODUCTION GÉNÉRALE
Pratiquant le piano depuis de nombreuses années, j'ai décidé de porter ce mémoire de terminologie sur la facture du piano. Vraisemblablement et à tort, la plupart des gens qui s'adonnent à la pratique du piano et même certains pianistes accomplis ignorent les mécanismes et éléments qui entrent dans le fonctionnement de leur instrument. On pourrait effectivement se dire qu'apprendre à jouer du piano correctement est déja bien assez difficile comme cela, pour essayer en plus d'en comprendre le fonctionnement !
En effet, une grande partie des pianistes du monde en connaissent juste assez sur le piano pour être en mesure d'évaluer les différents résultats qu'ils obtiennent en rapport avec leurs actions physiques sur l'instrument.
Et un jour, je me suis demandée se qui se passait réellement à l'intérieur d'un piano, ce qui m'a poussée à me documenter... en commençant par ouvrir mon piano à queue, chose que j'avais rarement faite auparavant ! Alors, j'ai pu me rendre compte de la diversité, de la finesse des pièces, et du travail artisanal impressionnant nécessaire à la construction de cet instrument.
Avoir un piano à queue m'a réellement aidée à mieux comprendre son fonctionnement et ainsi, à réaliser ce mémoire. Avoir à me renseigner sur cet instrument m'a permis de mieux connaître sa mécanique, mais aussi d'obtenir des renseignements sur la façon dont on l'entretient, ainsi que d'autres conseils pratiques.
Et aujourd'hui, lorsque je me mets au piano, je me dis que je connais enfin le fonctionnement de l'instrument que je pratique depuis des années...
Tous ceux qui sont fascinés par le piano en tant qu'instrument de musique, par sa beauté, sa grandeur et surtout la complexité de son mécanisme trouveront leur interêt dans ce mémoire.
Mais ce travail s'adresse plus particulièrement aux jeunes pianistes (comme moi il n'y a pas très longtemps) qui connaissent les effets sonores produits par le piano sous l'action des touches, sans en connaître le fonctionnement. Ce travail a donc pour but de détailler quelles sont les prinicipales pièces du piano, ainsi que les différents mécanismes enclenchés lors de l'action de l'interprète. Nous nous rendons ainsi compte que le piano est composé d'un bloc lutherie (qui comprend principalement le sommier où sont fixées les chevilles ; la table d'harmonie, nécessaire à l'amplification du son ; le meuble ; le chevalet, permettant de transmettre les vibration de la corde à la table d'harmonie), une mécanique, mettant en jeu un système de leviers (mécanique de la touche et du marteau), un clavier (comprenant les touches), un plan de cordes, et un pédalier. Il a été très difficile pour ce mémoire d'établir correctement les sous-domaines, en voici la raison : le chevalet, par exemple, sert à transmettre les vibrations des cordes. Il devrait donc être dans un sous-domaine avec les cordes. Or, il est aussi fixé sur la table d'harmonie. C'est finalement grâce à un site sur les métiers du piano que j'ai su qu'il faisait partie du bloc lutherie. J'ai pu accéder à un grand nombre d'informations par les sites des accordeurs-restaurateurs. L'ouvrage 88 keys, the Making of a Steinway piano m'a été d'une grande utilité afin de trouver l'équivalent des termes en anglais, même s'il en manque certains dans ce mémoire.
Afin de réaliser ce mémoire, j'ai fait appel à Gérard Fauvin, restaurateur de piano au domaine de Pétignac.
Tous ceux qui sont fascinés par le piano en tant qu'instrument de musique, par sa beauté, sa grandeur et surtout la complexité de son mécanisme trouveront leur interêt dans ce mémoire.
Mais ce travail s'adresse plus particulièrement aux jeunes pianistes (comme moi il n'y a pas très longtemps) qui connaissent les effets sonores produits par le piano sous l'action des touches, sans en connaître le fonctionnement. Ce travail a donc pour but de détailler quelles sont les prinicipales pièces du piano, ainsi que les différents mécanismes enclenchés lors de l'action de l'interprète. Nous nous rendons ainsi compte que le piano est composé d'un bloc lutherie (qui comprend principalement le sommier où sont fixées les chevilles ; la table d'harmonie, nécessaire à l'amplification du son ; le meuble ; le chevalet, permettant de transmettre les vibration de la corde à la table d'harmonie), une mécanique, mettant en jeu un système de leviers (mécanique de la touche et du marteau), un clavier (comprenant les touches), un plan de cordes, et un pédalier. Il a été très difficile pour ce mémoire d'établir correctement les sous-domaines, en voici la raison : le chevalet, par exemple, sert à transmettre les vibrations des cordes. Il devrait donc être dans un sous-domaine avec les cordes. Or, il est aussi fixé sur la table d'harmonie. C'est finalement grâce à un site sur les métiers du piano que j'ai su qu'il faisait partie du bloc lutherie. J'ai pu accéder à un grand nombre d'informations par les sites des accordeurs-restaurateurs. L'ouvrage 88 keys, the Making of a Steinway piano m'a été d'une grande utilité afin de trouver l'équivalent des termes en anglais, même s'il en manque certains dans ce mémoire.
Afin de réaliser ce mémoire, j'ai fait appel à Gérard Fauvin, restaurateur de piano au domaine de Pétignac.
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