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L'ingénierie du son
Français,anglaisJulien Derivière
Maitrise LEA - 2002 / 2003 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker
Sommaire
Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire
Bibliographie
Je tiens à remercier les personnes m'ayant aidé à élaborer ce mémoire :
-M. Loïc DEPECKER, responsable du mémoire de maîtrise, pour son aide et ses conseils offerts tout au long de l'année concernant les travaux de recherche et la rédaction du mémoire.
-Jérôme VIEILLEDENT, ingénieur du son indépendant aux studios Arkamys, pour les informations fournies et les conseils concernant les termes, ainsi que pour la validation des fiches de ce mémoire.
-Matthieu MARCHAND, pour son aide fournie lors de la recherche de documents.
-Laurent PEGORARO, pour la révision du mémoire.
INTRODUCTION GÉNÉRALE
L'ingénierie du son est un domaine extrêmement complexe. Pour l'ingénieur du son, qu'il s'agisse de la personne travaillant en studio pour un artiste ou du sonorisateur ayant la responsabilité de gérer en direct les instruments d'un groupe lors d'un concert, les techniques sont les mêmes, ainsi que les difficultés qui en découlent.
D'une manière générale, l'ingénieur du son professionnel dispose d'un matériel lui permettant de véritablement polir le son, le remodeler à sa convenance, en enlever des parties ou en accentuer d'autres, afin que le résultat soit le plus saisissant possible.
Tout ce matériel se trouvant à disposition de l'ingénieur du son ne doit cependant pas servir à nourrir les excès techniques. Il est en effet préférable, en particulier pour la personne qui écoute le travail final, de ne pas avoir à écouter une myriade d'effets spéciaux sonores qui masqueraient indubitablement le son d'origine, donc le travail de l'artiste.
Par voie de conséquence, le meilleur ingénieur du son sera celui qui arrivera au meilleur résultat en utilisant le moins de matériel possible. L'utilisation de tous ces appareils lui permettant de modifier le son sera donc préférablement réduite au minimum, afin de faire ressortir le plus possible le vrai travail du musicien. L'ingénieur du son doit autant que possible faire ressortir une cohésion entre les sons, les instruments ; le travail doit être agréable à entendre, avoir une âme et ne pas paraître confus.
Le domaine de l'ingénierie du son a récemment bénéficié d'une évolution technique importante, à savoir le numérique. La numérisation, procédé par lequel chaque son peut être traité sur ordinateur simplifie énormément certaines tâches.
Cependant, plusieurs artistes, ingénieurs du son, et même de nombreux auditeurs, s'accorderont sur le fait que le son numérisé peut sembler plus froid. Mais il reste tout de même nettement plus clair, et il permet un rendu beaucoup plus fidèle. C'est pour cette raison que le numérique est aujourd'hui très largement utilisé dans le domaine du son.
Arborescence
1. Aspects du son
1.1. Propriétés physiques du son
1.1.1. Fréquence
1.1.2. Hertz
1.1.3. Décibel
1.2. Propriétés physiques appliquées à la musique
1.2.1. Spectre sonore
1.2.2. Bande passante
1.2.3. Dynamique
1.2.4. Echantillon
1.2.5. Réverbération
2. Acquisition du son
2.1.Bruit de fond
2.2. Bonnette
2.3. Microphone
2.3.1. Sensibilité
2.4. Multipaire
2.4.1. Câble symétrique
2.5. Alimentation fantôme
2.5.1. Boîtier de direct
2.6. Pré-amplificateur
2.7. Noise gate
2.8. Crête-mètre
2.9. Convertisseur analogique-numérique
2.10. Fréquence d'échantillonnage
2.11. Sonagramme
2.12. Vu-mètre
2.13. Distortion harmonique
2.14. Larsen
3. Traitement du signal numérique
3.1. Editeur audio
3.1.1. Elimination du bruit
3.1.2. Normalisation
3.1.3. Maximisation
3.1.4. Interpolation
3.1.5. Déesseur
3.1.6. Declicker
3.2. DSP
3.2.1. Chorus
3.2.2. Flanger
3.2.3. Réverbération
3.2.4. Phaser
3.2.5. Harmoniseur
3.2.6. Octaveur
3.3. Générateur de modulation
3.4. Modulation
3.5. Filtre
3.5.1. Egaliseur
3.5.2. Fréquence de coupure
3.5.3. Lo-fi
3.5.4. Oscillateur basse fréquence
3.6. Pitch-shifting
3.7. Compresseur
3.7.1. Limiteur
3.8. Fading
3.9. Cross-fader
3.10. Automation
3.10.1. Panoramique
3.10.2. Mute
3.10.3. Mixage
4. Restitution du signal sonore
4.1. Routage
4.2. Convertisseur numérique-analogique
4.2.1. Retour scène
4.2.2. Amplificateur
4.2.2.1. Cross-over
4.2.2.1.1. Boomer
4.2.2.1.2. Tweeter
Etant musicien diplômé du Centre Musical Municipal de Cergy Saint-Christophe, le choix d'un sujet pour ce mémoire m'a paru évident. Au cours des sept années passées au sein de l'école de musique, j'ai pu acquérir des connaissances dans deux domaines principaux, à savoir mon instrument, la batterie, et la Musique Assistée par Ordinateur (MAO). Ce dernier m'a permis, dans le cadre de l'enseignement et des options proposées, d'aborder la musique sous un aspect d'arrangement et de travail du son.
J'ai pu, par la suite, approfondir ces connaissances et les mettre en pratique à l'occasion de divers concerts qui se sont déroulés dans la région parisienne, soit en tant que musicien, soit en tant qu'ingénieur du son assistant. C'est ainsi que j'ai pu définir une direction bien précise pour ce mémoire, à savoir l'ingénierie du son dans ses applications les plus courantes : le traitement du signal sonore et la sonorisation de concerts.
J'ai donc commencé par me tourner vers deux organismes qui m'ont beaucoup aidé dans l'élaboration de mon mémoire, à savoir les studios d'enregistrements du Chat Perché de Cergy Saint-Christophe, et les studios d'Arkamys s'occupant principalement du traitement numérique des bandes sonores de films. L'aide et la documentation qui m'ont été fournies m'ont été très précieuses, car certains termes que je ne connaissais pas ont pu m'y être expliqués. Cette collaboration a été enrichissante de par les critiques formulées sur les définitions de quelques termes étant un peu floues au départ.
J'ai pu compléter les informations obtenues à l'aide de deux ouvrages : le manuel d'utilisation d'une console de mixage semi professionnelle, la Mackie 1604-VLZ, et le manuel d'utilisation de Cubase SX, un des logiciels les plus couramment utilisés dans les studios d'enregistrement professionnels. Ces deux ouvrages m'ont été utiles dans le sens où ils correspondaient parfaitement à l'orientation que je voulais donner à mon mémoire.
Le principal problème auquel j'ai été confronté lors de l'élaboration de ce mémoire a été la limite du nombre de termes, car les termes se rapportant au domaine de l'ingénierie du son sont très nombreux ; le fait d'avoir ciblé mes recherches sur l'ingénierie du son dans ses formes les plus courantes m'a permis d'éviter d'obtenir un nombre de termes trop important, ce qui aurait pu compromettre la clarté de ce mémoire.
Etant musicien diplômé du Centre Musical Municipal de Cergy Saint-Christophe, le choix d'un sujet pour ce mémoire m'a paru évident. Au cours des sept années passées au sein de l'école de musique, j'ai pu acquérir des connaissances dans deux domaines principaux, à savoir mon instrument, la batterie, et la Musique Assistée par Ordinateur (MAO). Ce dernier m'a permis, dans le cadre de l'enseignement et des options proposées, d'aborder la musique sous un aspect d'arrangement et de travail du son.
J'ai pu, par la suite, approfondir ces connaissances et les mettre en pratique à l'occasion de divers concerts qui se sont déroulés dans la région parisienne, soit en tant que musicien, soit en tant qu'ingénieur du son assistant. C'est ainsi que j'ai pu définir une direction bien précise pour ce mémoire, à savoir l'ingénierie du son dans ses applications les plus courantes : le traitement du signal sonore et la sonorisation de concerts.
J'ai donc commencé par me tourner vers deux organismes qui m'ont beaucoup aidé dans l'élaboration de mon mémoire, à savoir les studios d'enregistrements du Chat Perché de Cergy Saint-Christophe, et les studios d'Arkamys s'occupant principalement du traitement numérique des bandes sonores de films. L'aide et la documentation qui m'ont été fournies m'ont été très précieuses, car certains termes que je ne connaissais pas ont pu m'y être expliqués. Cette collaboration a été enrichissante de par les critiques formulées sur les définitions de quelques termes étant un peu floues au départ.
J'ai pu compléter les informations obtenues à l'aide de deux ouvrages : le manuel d'utilisation d'une console de mixage semi professionnelle, la Mackie 1604-VLZ, et le manuel d'utilisation de Cubase SX, un des logiciels les plus couramment utilisés dans les studios d'enregistrement professionnels. Ces deux ouvrages m'ont été utiles dans le sens où ils correspondaient parfaitement à l'orientation que je voulais donner à mon mémoire.
Le principal problème auquel j'ai été confronté lors de l'élaboration de ce mémoire a été la limite du nombre de termes, car les termes se rapportant au domaine de l'ingénierie du son sont très nombreux ; le fait d'avoir ciblé mes recherches sur l'ingénierie du son dans ses formes les plus courantes m'a permis d'éviter d'obtenir un nombre de termes trop important, ce qui aurait pu compromettre la clarté de ce mémoire.
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