Présentation des mémoires de terminologie
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GMP Groupe moto-propulseur
Français,espagnolEugenia Bussolo-Pons
Maitrise LEA - 2001 / 2002 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker
Sommaire
Remerciements
Introduction
Termes traités dans ce mémoire
Bibliographie
Tous mes sincères remerciements à mon valideur, M. Skander Ben Ali, ingénieur consultant à SEGIME, pour sa disponibilité et sa collaboration. Il a su me conseiller et orienter ma recherche.
Un grand merci également à Isabelle Andrade, pour être présente et partager avec moi ses connaissances en automobile.
Enfin, je remercie vivement, Nicole Pfirsch, ingénieur à Renault, qui a mis a ma disposition des documents techniques en français, espagnol et anglais.
Merci, Hatem Antoine, pour me donner des raisons pour continuer…
INTRODUCTION GÉNÉRALE
Malgré une conception mécanique qui remonte au siècle XVIII, l'automobile ne cesse d'innover, soit en termes de esthétique, d'économie de combustible ou d'ergonomie. En effet, la conception mécanique des voitures modernes est la même qu'il y a deux siècles. Sur cette base, de nouvelles découvertes prennent place, tels que le Groupe Moto-Propulseur, sujet de ce mémoire. Ce système est la réunion est composé du moteur, de la boîte à vitesses et de l'embrayage, en réunissant les fonction de propulsion, assurée par le moteur, le couplage et le découplage, propres de la boîte de vitesses et de l'embrayage. Et la boîte à vitesses, dons le rôle est l'adaptation du moteur du couple-moteur aux exigences de la route.
Le GMP est l'essence même de tout véhicule roulant, exceptés les voitures électriques, qui ont une plage suffisamment large de couple et de vitesse et n'ont pas besoin ni d'embrayage ni de boîte de vitesses, se contentant d'un réducteur.
Ce système n'est propre à un seul constructeur automobile. C'est une technologie partagée.
Le domaine de l'automobile a toujours attiré mon attention, bien que je n'avais pas spécialement prévu de faire mon mémoire dans cette discipline. Après avoir essuyé quelques refus et échecs dans le cadre d'une recherche terminologique précédente, je me suis penchée sur la voiture, avec qui j'ai été toujours familiarisée. Je possède quelques connaissances en mécanique et il m'a semblé que je pouvais faire une recherche intéressante sur le GMP, le groupe moto-propulseur.
Pour approfondir mes connaissances sur le sujet, j'ai contacté quelques connaissances qui travaillent dans l'automobile. Ils se sont montrés très intéressés et m'ont fourni de la documentation. C'est à partir de ce primer contact, amicale et facile, que j'ai décidé de élaborer mon mémoire sur le GMP.
J'ai pu faire un bon recueil de documents que j'ai pu me fournir auprès de bibliothèques techniques (la Cité de Sciences, le Centre Pompidou). J'ai également visité la Société d'Ingénieurs Automobiles (SIA), où on m'a prêté une oreille attentive et j'ai pu trouver conseil. L'ingénieur Skander Ben Ali, consultant chez Peugeot, a montré un vif intérêt pour mon sujet et a été toujours disponible pour répondre à des questions techniques, m'aider à formuler des définitions et valider mon travail.
L'objectif de ma recherche est d'expliquer, dans un langage clair et compréhensible pour un public ayant quelques notions de mécanique, les principes généraux du GMP, en s'intéressant notamment au rôle des différents éléments qui la composent. Le GMP n'est pas de conception récente, mais il y a toujours un certain vide documentaire, raison pour laquelle, je me suis appuyée sur mon valideur, spécialiste de GMP. Les ouvrages consultés m'ont fourni les termes essentiels à l'élaboration du glossaire.
Une fois, le sujet délimité, j'ai établi un calendrier d'un mois et demi. Mon valideur me guidait dans mon travail, notamment par téléphone et courrier électronique. Le domaine automobile est très vaste et il n'est pas facile de sélectionner les termes à étudier. J'ai décidé de garder un esprit de vulgarisation et pour cette raison, j'ai tranché par les termes les plus représentatifs et généraux. J'ai pu ainsi constituer mon glossaire et le valideur l'a révisé, en apportant de précieuses observations.
Je n'ai rencontré spécialement de difficultés. La documentation était abondante et disponible et l'accès à Internet facilite encore plus a tâche. En outre, les constructeurs automobiles, via leurs centres de documentation, se montraient très coopératifs. Il n'y avait pas la crainte du secret professionnel, bien au contraire. En revanche, j'ai pu constater que la plupart des ouvrages était assez anciens. C'est en consultant des brochures datant des années soixante et soixante-dix que j'ai appris que toute les innovations techniques que dans nos jours ont lieu dans le secteur automobile, reposent sur les anciennes découvertes, notamment en mécanique.
Le concept même du GMP m'a permis de découper le domaine en trois grandes parties, le moteur, l'embrayage et la boîte de vitesses, autour desquelles se structurent les 80 termes du glossaire. Tous les unités terminologiques décrivaient, dénommaient des concepts propres à ces systèmes. Pourtant, les concepts étant très nombreux, j'ai eu quelques difficultés à faire la sélection des termes.
Le domaine de l'automobile a toujours attiré mon attention, bien que je n'avais pas spécialement prévu de faire mon mémoire dans cette discipline. Après avoir essuyé quelques refus et échecs dans le cadre d'une recherche terminologique précédente, je me suis penchée sur la voiture, avec qui j'ai été toujours familiarisée. Je possède quelques connaissances en mécanique et il m'a semblé que je pouvais faire une recherche intéressante sur le GMP, le groupe moto-propulseur.
Pour approfondir mes connaissances sur le sujet, j'ai contacté quelques connaissances qui travaillent dans l'automobile. Ils se sont montrés très intéressés et m'ont fourni de la documentation. C'est à partir de ce primer contact, amicale et facile, que j'ai décidé de élaborer mon mémoire sur le GMP.
J'ai pu faire un bon recueil de documents que j'ai pu me fournir auprès de bibliothèques techniques (la Cité de Sciences, le Centre Pompidou). J'ai également visité la Société d'Ingénieurs Automobiles (SIA), où on m'a prêté une oreille attentive et j'ai pu trouver conseil. L'ingénieur Skander Ben Ali, consultant chez Peugeot, a montré un vif intérêt pour mon sujet et a été toujours disponible pour répondre à des questions techniques, m'aider à formuler des définitions et valider mon travail.
L'objectif de ma recherche est d'expliquer, dans un langage clair et compréhensible pour un public ayant quelques notions de mécanique, les principes généraux du GMP, en s'intéressant notamment au rôle des différents éléments qui la composent. Le GMP n'est pas de conception récente, mais il y a toujours un certain vide documentaire, raison pour laquelle, je me suis appuyée sur mon valideur, spécialiste de GMP. Les ouvrages consultés m'ont fourni les termes essentiels à l'élaboration du glossaire.
Une fois, le sujet délimité, j'ai établi un calendrier d'un mois et demi. Mon valideur me guidait dans mon travail, notamment par téléphone et courrier électronique. Le domaine automobile est très vaste et il n'est pas facile de sélectionner les termes à étudier. J'ai décidé de garder un esprit de vulgarisation et pour cette raison, j'ai tranché par les termes les plus représentatifs et généraux. J'ai pu ainsi constituer mon glossaire et le valideur l'a révisé, en apportant de précieuses observations.
Je n'ai rencontré spécialement de difficultés. La documentation était abondante et disponible et l'accès à Internet facilite encore plus a tâche. En outre, les constructeurs automobiles, via leurs centres de documentation, se montraient très coopératifs. Il n'y avait pas la crainte du secret professionnel, bien au contraire. En revanche, j'ai pu constater que la plupart des ouvrages était assez anciens. C'est en consultant des brochures datant des années soixante et soixante-dix que j'ai appris que toute les innovations techniques que dans nos jours ont lieu dans le secteur automobile, reposent sur les anciennes découvertes, notamment en mécanique.
Le concept même du GMP m'a permis de découper le domaine en trois grandes parties, le moteur, l'embrayage et la boîte de vitesses, autour desquelles se structurent les 80 termes du glossaire. Tous les unités terminologiques décrivaient, dénommaient des concepts propres à ces systèmes. Pourtant, les concepts étant très nombreux, j'ai eu quelques difficultés à faire la sélection des termes.
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