Présentation des mémoires de terminologie
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Le voilier, voiles, mâts et gréement
Français,anglais
Maitrise LEA - 1998 / 1999 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker
Sommaire
Introduction
Termes traités dans ce mémoire
Bibliographie
Je tient avant toute chose à remercier les personnes suivantes sans lesquelles je n'aurais pas pu effectuer ce glossaire terminologique : M. Didier Ravon (rédacteur en chef adjoint du magasine Voiles & Voiliers), mon frère Antoine Denis qui n'est autre qu'un grand passionné de voiles, M. Gilles Sabin (responsable de la vie des clubs à la FFV) et enfin Voiles magasine dont les informations, au début de mon travail de recherche, m'ont été tout particulièrement utiles.
INTRODUCTION GÉNÉRALE
Le domaine de la voile est un domaine très ancien et passionnant. Il a traversé les siècles et a permis aux hommes de partir à la découverte du monde, et pourtant il n'a pas tant évolué si ce n'est sur le plan technique (essentiellement les nouveaux matériaux). En effet, le principe de la voile reste pratiquement le même et les manoeuvres sont identiques à peu de choses près.
Le voilier, qu'il soit monocoque ou multicoque, comprend trois grandes parties, la coque, la mâture et la voilure, auxquelles viennent s'ajouter tous les éléments du gréement. La coque se compose principalement de pièces de charpente (autrefois en bois), tandis que la voilure se présente essentiellement sous la forme de pièces de forte toile. En fait, un voilier est un ensemble complexe tant dans sa coque que dans son gréement. On peut le décrire et le définir par ses formes qui le distinguent des autres bateaux.
Si je me suis intéressé au domaine de la voile, c'est parce qu'il est synonyme de liberté. De plus ce domaine qui touche bon nombre de gens et qui représente par conséquent sur le plan économique un marché considérable, est néanmoins un domaine relativement fermé, protégé par un jargon qui lui est spécifique. Bien sûrs, la voile ne se distingue pas d'autres domaines professionnels par l'existence d'un langage qui lui est propre, mais plutôt par l'existence d'un langage spécifique pratiquement totalement incompréhensible pour le commun des terriens. Ainsi n'est pas marin qui veut et l'acquisition du vocabulaire marin constitue la toute première étape à l'apprentissage de la voile.
Ce glossaire terminologique répond en fait à deux attentes : d'une part la volonté personnelle d'en savoir plus sur un univers fascinant et passionnant qu'est celui de la navigation à voile, et d'autre part, l'envie de mettre à la disposition du néophyte qui vient d'acheter ou de louer un voilier un mini glossaire assez complet pour lui permettre de comprendre clairement et le plus simplement possible les éléments principaux du bateau servant à sa manoeuvre.
La voile, marché très porteur dans le domaine du sport et des loisirs (de la plaisance), se développe considérablement dans les échanges commerciaux au niveau international. En effet, les anglo-saxons, forts d'une longue tradition en la matière, se situent au premier rang des exportations de voiliers et les français les suivent de loin, notamment dans le secteur des petits voiliers de régate.
Le gréement désigne suivant le contexte tout ou partie de l'ensemble de la mâture, des câbles et cordages, des espars et des voiles. Ce terme s'applique tour à tour à une famille typologique, en prenant en référence une voile (latine, carrée,...), puis à une façon particulière de gréer un bateau en combinant plusieurs voiles d'une même famille (une voile au tiers donne un canot à misaine, deux voiles au tiers font une chaloupe,...). On distingue également le gréement dormant du gréement courant, c'est-à-dire les cordages ou câbles destinés à soutenir la mâture (haubans, étais,...) de ceux qui peuvent coulisser pour manoeuvrer les voiles (drisses, écoutes,...). Leur importance est fonction de la taille du bateau et du type de gréement et de voilure.
Sur le plan historique, à toutes les époques de la marine, et même encore de nos jours, le gréement a été considéré comme une des spécialités les plus nobles de l'art naval. Son rôle est en effet très vite devenu fondamental, car au développement des bâtiments devait correspondre celui des mâtures, support des voiles propulsives, et c'est sans doute aux derniers jours de la voile, en tant que transport de marchandises à la fin du XIXe siécle, que le gréement atteignit une sorte d'apogée de ses techniques et de son efficacité.
Chaque partie de mâture, chaque manoeuvre courante ou dormante est le résultat de mises au point parfois très longues autour d'une fonction parfaitement définie et recherchée. Ainsi en va-t-il des espars qui gréent les voiles et qui, ayant pour but de présenter celles-ci le mieux possible au vent, doivent se montrer dociles à manoeuvrer.
Assez rapidement les fonctions essentielles de chaque chose furent assignées, mais il est surprenant de constater à quel point les dispositions pratiques qui furent créées à l'origine changèrent peu au cours de la longue histoire de la voile. Comme je l'ai dit précédemment, les seules évolutions notables pourraient se trouver d'abord dans l'utilisation de nouveaux matériaux, qui imposent ou facilitent le dessin des formes, mais aussi dans le surcroît d'efficacité et de rendement qui devenaient essentiels pour diminuer les efforts des équipages au moment où ceux-ci se réduisaient à bord.
Cette recherche d'une aide de la machine date des âges les plus reculés. De tous temps en effet l'homme a cherché à se fabriquer des outils pour simplifier sa vie quotidienne. Les machines simples destinées à élever des poids, la poulie et le treuil, sont les premières à avoir été inventées et leur découverte remonte à quelques siècles avant notre ère. Puis la poulie passa sur les navires et s'y adapta au point même de faire oublier ses origines terrestres. C'était l'outil idéal pour modifier la direction des forces et diminuer les efforts de l'équipage. On alla plus loin en groupant à plusieurs les poulies pour former des palans capables d'arracher des poids considérables.
Quant aux mâtures, le jour vint où plusieurs tronçons s'avérèrent nécessaires sur les bâtiments importants. Le gréement n'était plus seulement l'affaire des marins ordinaires, mais bien d'une partie de l'équipage spécialisée (les gabiers). Leur travail incessant sur les mille et un détails d'équipement de la mâture et de la voilure garantissait l'efficacité de la machine à vent. Et enfin, au cours des années, ce laborieux travail finissait par porter ses fruits pour faire du navire un instrument sûr et fonctionnel.
Ce mémoire a pour objectif de définir un ensemble de termes clé de la voilure, de la mâture et du gréement d'un voilier sans entrer dans des détails extrêmement techniques. En effet, la plupart de ces termes sont parfaitement assimilés par les professionnels de la voile, mais ils sont à la fois tout à fait incompréhensibles pour le commun des terriens. Ainsi le lectorat visé est plutôt une très large catégorie de la population puisque ce domaine est susceptibles de toucher le plus grand nombre de personnes. De ce fait le niveau de définition est simplifié et vulgarisé au maximum, bien qu'il faille bien souvent recourir à des termes consacrés pour en définir d'autres, car dans le domaine de la voile les marins utilisent énormément de mots spécifiques à leur passion.
L'étude de ce glossaire de terminologie est principalement centrée sur les termes de gréement, de mâture et de voilure et une poignée de termes qui se réfèrent à la coque du voilier. En effet, la voilure et la mâture étant intrinsèquement liées au gréement, je ne pouvais pas me permettre d'aborder un de ses sous-domaines sans faire allusion aux deux autres. C'est pourquoi j'ai décidé de sélectionner des termes appartenant à ces trois sous-domaines que j'ai choisi en demandant conseil aux spécialistes que j'ai pu rencontré au cours de mes recherches.
La constitution du corpus s'est faite tout naturellement en suivant les conseils et en observant les recommandations faites par mes premiers correspondants. Ainsi, grâce aux journalistes de magasines spécialisés, j'ai pu prendre connaissance des différentes sources d'informations nécessaires à l'élaboration de ce mémoire et m'adresser aux personnes les plus compétentes. Le choix des sources livresques s'est également fait de la façon la plus simple grâce aux différentes bibliographies qui m'ont été envoyées par mes différents correspondants. Enfin, ce corpus comprend à la fois des sources livresques et des sources non livresques, à savoir, outre les entretiens avec des spécialistes, des documents vidéo à la Vilette et des sites internet qui s'avèrent plus efficaces pour la compréhension de ce domaine qui est très concret.
Pour conclure, je dois avouer que certains obstacles m'ont compliqué la tâche . En premier lieu, il n'est pas facile d'obtenir un rendez-vous à la FFV dont les cadres semblent trop occuper pour répondre au public ; ce qui m'a beaucoup étonné au début, étant donné qu'il s'agit d'une fédération et non pas d'une société à but lucratif. La principale problématique rencontrée a été de constituer la nomenclature du glossaire terminologique. En effet, il existe tellement de termes qui méritent qu'on s'y intéresse qu'il m'a fallu beaucoup de temps pour faire un choix. C'est pourquoi j'ai tenté d'être le plus central possible. De plus, bien qu'il y ait un nombre incalculable d'ouvrages sur le sujet, il n'existe quasiment pas de dictionnaires ou de glossaires conséquents sur le domaine de la voile et j'ai bien souvent entendu cette remarque, notamment de la part de M.Didier Ravon, journaliste spécialisé s'il en est. L'autre grande difficulté que j'ai rencontrée pour effectuer mes recherches est le fait que la plupart des spécialistes se trouvent dans des régions côtières, à savoir en Bretagne ou près du littoral méditerranéen, et bien qu'étant moi-même d'origine bretonne, je n'ai malheureusement pas pu m'y rendre dans cette optique. Enfin, le dernier et non le moindre de mes soucis a été la mise en forme de ce mémoire. N'ayant pas le logiciel Access et travaillant généralement sur Apple Macintosh, j'ai dû me familiariser avec les compatibles PC et effectuer une grande partie de mes travaux dans la salle de libre service informatique de Paris III. Le problème réside principalement dans le fait que l'accès à cette salle est limité et que la plupart des étudiants s'y rendent pour naviguer sur l'internet. Je me demande alors pourquoi, en fin d'année scolaire, quand des étudiants de maîtrise sont contraints d'achever leur mémoire et autres devoirs à rendre, n'y a-t-il pas de créneaux horaires réservés en priorité à ces mêmes étudiants. Par ailleurs, je tiens à faire remarquer que l'absence de source de définition dans mes fiches n'est en fait qu'une erreur de ma part, ainsi veuillez vous reporter aux sources bibliographiques figurant à la fin de ce mémoire.
Pour finir, j'espère que ce devoir sera agréable à parcourir et qu'il pourra amener des gens à s'intéresser à la voile.
En premier lieu le choix du sujet n'a pas été facile car j'ai dû faire un choix entre trois ou quatre domaines qui me tenaient à cœur, mais finalement mon choix s'est porté sur le vocabulaire de la voile car j'avais acquis une expérience très intéressante l'été dernier en travaillant dans le cadre du thophée Claire Fontaine, au cours duquel s'affrontent huit catamarans de 25 pieds. En effet, je faisais partie de l'équipe technique dirigée par Patrick Tabarly qui était chargée de monter les voiliers avant l'événement sportif et de les démonter entièrement une fois la compétition terminée. Cette expérience fut très enrichissante à plus d'un titre et a renforcée la passion naissante que j'avais vis-à-vis de la voile. Cependant, n'étant pas un expert en la matière, j'ai dû essuyer bon nombre de frustrations dans la mesure où une grosse partie du vocabulaire employé au cours de mon travail m'était complètement inconnu ; d'où le choix de ce thème de la voile.
Tout d'abord, j'ai contacté par téléphone plusieurs magasines spécialisés dans le monde de la voile et notamment Multicoques magasine, Voile magasine et Le monde du catamaran. Le monde du catamaran m'a communiqué le numéro de téléphone d'un de leurs traducteurs spécialisés, en locurrence David Palmer, que j'ai appelé par la suite pour qu'il m'envoie une liste de termes spécifiques au gréement et au catamaran. En fait, je voulais dans un premier temps faire un glossaire sur le catamaran puis je me suis ravisé lorsque j'ai su qu'il n'y avait que très peu de différences entre les termes propres au catamaran et ceux propres au voilier de manière générale, surtout pour tout ce qui ne concerne pas la coque. De plus ces premiers contacts m'ont permis de suivre d'autres pistes de recherche et d'obtenir par courrier beaucoup de documentation sur le sujet. A ce sujet, Multicoques magasine m'a envoyé un dossier hors-série sur le salon nautique de Paris 1999 où figurent un très grand nombre des modèles les plus récents de trimarans et de catamarans.
J'ai ensuite décidé d'appeler et de me rendre à une librairie spécialisée - la Librairie maritime et d'outre mer - située rue Jacob dans le sixième arrondissement de Paris. Là-bas, j'ai pu consulter plusieurs ouvrages et notamment acheter un hors-série de Voiles & voiliers (J'apprends le catamaran de sport). A ce moment même commençait à se profiler l'ensemble de mon corpus terminologique.
Je décidais ensuite de me rendre à la bibliothèque de l'AFNOR située à Paris-la-Défense, où j'ai pu trouver une bonne partie des renseignements que je cherchais sur le statut des termes en entrée de mon glossaire.
Par ailleurs, j'ai décidé de contacter des constructeurs de bateaux à voiles pour obtenir encore davantage de documentation et d'informations. Ces derniers, Obi 4 Europe, Mystère catamaran Europe, France catamaran et New marine ainsi que Prindle France, m'ont envoyé par la suite plusieurs brochures de présentation de leurs tout derniers modèles de bateaux sur le marché.
Enfin, je me suis mis en rapport avec la Fédération Française de Voile qui se trouve avenue Klébert dans le seizième arrondissement de Paris et qui compte un département catamaran et un département dériveur où j'ai pu contacté M. Gilles SABIN, responsable de la vie des clubs à la FFV, qui a pu entre autres choses répondre à certaines de mes questions lors d'un entretien et notamment me donner plusieurs contextes oraux pour certains de mes termes. Au même moment, je tentais de prendre rendez-vous avec M. Barraud, chargé des catamarans à la FFV, mais je n'y suis pas parvenu étant donné que ce dernier était très pris et très souvent en déplacement.
Parallèlement, je me suis rendu à la Bibliothèque Nationale de France, située tout près de Bercy à Paris, où j'ai pu consulter toutes sortes de livres fort intéressants sur le domaine de la voile et des bateaux, notamment Le catamaran de sport écrit par François Salle et de nombreux glossaires et dictionnaires spécialisés. De plus, j'ai pu y consulter l'internet où les sites spécialisés dans la voile sont relativement nombreux. Ainsi j'ai eu la possibilité de naviguer sur le site de la FFV, celui de France Catamaran et d'autres constructeurs et importateurs. Mais le site le plus intéressant de tous est celui d'Eurodicautom qui est un site spécialisé dans la terminologie de toutes sortes de domaines.
Je me suis également rendu à la Cité des sciences de la Vilette, située à Paris dans le dix-neuvième arrondissement, où j'ai pu consulter bon nombre d'ouvrages très pertinents et visionner deux documents vidéo sur les bateaux à voile.
Enfin, après avoir terminées mes recherches et en grande partie mon glossaire, j'ai demandé à mon frère qui est un grand amateur de voile de réviser mon travail, ce qu'il a fait non sans difficultés étant donné qu'il ne connaissait pas tous les termes qui y sont présentés. En outre, j'ai contacté et pris rendez-vous avec M. Didier RAVON, rédacteur en chef adjoint du magasine mensuel Voiles & Voiliers, qui a très gentiment accepté de valider mon mémoire.
En premier lieu le choix du sujet n'a pas été facile car j'ai dû faire un choix entre trois ou quatre domaines qui me tenaient à cœur, mais finalement mon choix s'est porté sur le vocabulaire de la voile car j'avais acquis une expérience très intéressante l'été dernier en travaillant dans le cadre du thophée Claire Fontaine, au cours duquel s'affrontent huit catamarans de 25 pieds. En effet, je faisais partie de l'équipe technique dirigée par Patrick Tabarly qui était chargée de monter les voiliers avant l'événement sportif et de les démonter entièrement une fois la compétition terminée. Cette expérience fut très enrichissante à plus d'un titre et a renforcée la passion naissante que j'avais vis-à-vis de la voile. Cependant, n'étant pas un expert en la matière, j'ai dû essuyer bon nombre de frustrations dans la mesure où une grosse partie du vocabulaire employé au cours de mon travail m'était complètement inconnu ; d'où le choix de ce thème de la voile.
Tout d'abord, j'ai contacté par téléphone plusieurs magasines spécialisés dans le monde de la voile et notamment Multicoques magasine, Voile magasine et Le monde du catamaran. Le monde du catamaran m'a communiqué le numéro de téléphone d'un de leurs traducteurs spécialisés, en locurrence David Palmer, que j'ai appelé par la suite pour qu'il m'envoie une liste de termes spécifiques au gréement et au catamaran. En fait, je voulais dans un premier temps faire un glossaire sur le catamaran puis je me suis ravisé lorsque j'ai su qu'il n'y avait que très peu de différences entre les termes propres au catamaran et ceux propres au voilier de manière générale, surtout pour tout ce qui ne concerne pas la coque. De plus ces premiers contacts m'ont permis de suivre d'autres pistes de recherche et d'obtenir par courrier beaucoup de documentation sur le sujet. A ce sujet, Multicoques magasine m'a envoyé un dossier hors-série sur le salon nautique de Paris 1999 où figurent un très grand nombre des modèles les plus récents de trimarans et de catamarans.
J'ai ensuite décidé d'appeler et de me rendre à une librairie spécialisée - la Librairie maritime et d'outre mer - située rue Jacob dans le sixième arrondissement de Paris. Là-bas, j'ai pu consulter plusieurs ouvrages et notamment acheter un hors-série de Voiles & voiliers (J'apprends le catamaran de sport). A ce moment même commençait à se profiler l'ensemble de mon corpus terminologique.
Je décidais ensuite de me rendre à la bibliothèque de l'AFNOR située à Paris-la-Défense, où j'ai pu trouver une bonne partie des renseignements que je cherchais sur le statut des termes en entrée de mon glossaire.
Par ailleurs, j'ai décidé de contacter des constructeurs de bateaux à voiles pour obtenir encore davantage de documentation et d'informations. Ces derniers, Obi 4 Europe, Mystère catamaran Europe, France catamaran et New marine ainsi que Prindle France, m'ont envoyé par la suite plusieurs brochures de présentation de leurs tout derniers modèles de bateaux sur le marché.
Enfin, je me suis mis en rapport avec la Fédération Française de Voile qui se trouve avenue Klébert dans le seizième arrondissement de Paris et qui compte un département catamaran et un département dériveur où j'ai pu contacté M. Gilles SABIN, responsable de la vie des clubs à la FFV, qui a pu entre autres choses répondre à certaines de mes questions lors d'un entretien et notamment me donner plusieurs contextes oraux pour certains de mes termes. Au même moment, je tentais de prendre rendez-vous avec M. Barraud, chargé des catamarans à la FFV, mais je n'y suis pas parvenu étant donné que ce dernier était très pris et très souvent en déplacement.
Parallèlement, je me suis rendu à la Bibliothèque Nationale de France, située tout près de Bercy à Paris, où j'ai pu consulter toutes sortes de livres fort intéressants sur le domaine de la voile et des bateaux, notamment Le catamaran de sport écrit par François Salle et de nombreux glossaires et dictionnaires spécialisés. De plus, j'ai pu y consulter l'internet où les sites spécialisés dans la voile sont relativement nombreux. Ainsi j'ai eu la possibilité de naviguer sur le site de la FFV, celui de France Catamaran et d'autres constructeurs et importateurs. Mais le site le plus intéressant de tous est celui d'Eurodicautom qui est un site spécialisé dans la terminologie de toutes sortes de domaines.
Je me suis également rendu à la Cité des sciences de la Vilette, située à Paris dans le dix-neuvième arrondissement, où j'ai pu consulter bon nombre d'ouvrages très pertinents et visionner deux documents vidéo sur les bateaux à voile.
Enfin, après avoir terminées mes recherches et en grande partie mon glossaire, j'ai demandé à mon frère qui est un grand amateur de voile de réviser mon travail, ce qu'il a fait non sans difficultés étant donné qu'il ne connaissait pas tous les termes qui y sont présentés. En outre, j'ai contacté et pris rendez-vous avec M. Didier RAVON, rédacteur en chef adjoint du magasine mensuel Voiles & Voiliers, qui a très gentiment accepté de valider mon mémoire.
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