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Termes
traités dans ce mémoire

Le bois de construction
Français,anglais

Donia Zouaoui

Maitrise LEA - 2003 / 2004 - Paris III
Responsable : Loïc Depecker


Sommaire

Remerciements
Introduction
Abréviations spécifiques
Termes traités dans ce mémoire

Bibliographie


Remerciements

Je tiens à adresser mes plus vifs remerciements à M. Lotfi ZOUAOUI pour sa disponibilité et son professionnalisme.
Je souhaite également remercier les personnes qui ont eu la gentillesse de suivre et de relire mon projet. Les remarques et le regard extérieur de chacun m'ont permis de constamment remettre mon travail en question, d'avancer dans mes recherches et dans ma réflexion sur les notions de « concept » et d'« unité terminologique ».


INTRODUCTION

INTRODUCTION GÉNÉRALE 

Les métiers du bois sont aussi vieux que le monde. L'établi, le rabot, la varlope, le trusquin… sont des éléments qui figurent encore sur les vitraux des églises et des cathédrales autour de St Joseph, patron des menuisiers.
Il n'y a pas si longtemps, ces outils se trouvaient en surabondance dans les établissements d'enseignement technique. Pourtant, aujourd'hui, l'on observe une nouvelle façon de travailler le bois ainsi que de nouvelles formes de fabrication beaucoup plus industriels et modernes.
L'idée première lorsqu'il a été question de trouver un thème pour la réalisation d'un glossaire était de traiter les matériaux de l'architecture moderne. Cependant, au moment de dresser la liste des concepts, j'ai constaté qu'il y en aurait un nombre beaucoup trop important pour rester dans le cadre du glossaire. Deux solutions se sont donc présenter à moi : établir une sélection dans les notions recensées, au risque de m'éloigner de mon travail en choisissant des termes peu importants ou encore d'en abandonner d'autre plus essentiels à mon étude ; ou bien de restreindre l'intituler de mon sujet. J'ai opté pour cette seconde possibilité dans la mesure où mon réviseur m'a assuré que pour le bois seulement, je trouverai largement de quoi remplir mon glossaire. De plus, en en dresser la liste, c'est tout naturellement que j'y ai constaté l'arborescence. L'on a cependant rajouté une partie intitulée « les différentes parties du bois » car il semble important de connaître en profondeur le façon dont est constitué cet élément, centre même de mon étude.


INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE 


L'idée de constituer un glossaire terminologique portant sur les bois de construction m'est venue en discutant avec mon frère. En effet, il arrive lors de certaines de nos conversations relatives à son travail, que je ne comprenne pas tous ses propos dans la mesure où il emploie parfois un vocabulaire particulier, technique, presque incompréhensible pour le néophyte. De plus, j'en suis à un stade de mes études où il devient indispensable de me décider quand au domaine de traduction dans lequel je souhaite me spécialiser. Ainsi celui de l'architecture me semble très envisageable. D'ailleurs, j'ai pu apprendre au cours des derniers mois que le secteur du bâtiment cherche des traducteurs dans la mesure où, l'Europe se construisant, plus aucun pays ne peut se permettre de travaille seul. Pour me familiariser davantage avec ce vocabulaire, j'ai eu la chance de passer une journée dans les bureaux de l'entreprise 3D Design. J'ai aussi eu la possibilité de suivre quelques chantiers.
Le bois est la matière ligneuse et compacte qui compose les branches, le tronc et les racines des arbres et des arbrisseaux. C'est un ensemble de tissus composés de fibres ligneuses, de parenchyme et de vaisseaux. Pour compléter cette définition, la norme NF B 50-003 définit le bois comme un "ensemble de tissus résistants secondaires (de soutien, de conduction, et de mise en réserve) qui forment les troncs, branches et racines des plantes ligneuses. Issu du fonctionnement du cambium périphérique, il est situé entre celui-ci et la moelle. Ne s'applique pas aux monocotylédones (bambous, palmiers, rotins)".
Le bois est un matériau que les industries de première transformation modifient et amènent sous de multiples formes: bois sciés, lamellés collés, panneaux, pièces aboutées, ...Comme matériau, le bois s'emploie soit directement comme matière première - par exemple pour la fabrication d'éléments de menuiserie, de meubles, d'emballages - soit pour la réalisation de matériaux dérivés tels que les panneaux de particules et contreplaqués. La grande variété des bois, de propriétés et d'aspects différents, permet de nombreuses utilisations dans de multiples répertoires de l'environnement humain.
En menant cette étude, j'ai donc décidé de m'attarder sur 72 concepts essentiels. Il a été difficile de se limiter en quantité dans la mesure où chaque nouveau terme en génère souvent un autre, soit parce qu'ils sont liés dans leur fonction, soit parce qu'il s'agit de termes appartenant à un sous-domaine d'un concept donné. Mon point de départ a été ce petit nombre de mots que j'ai vu revenir dans le discours des professionnels. Et c'est à partir de ces notions que j'ai étoffé mon travail, y ajoutant sans cesse de nouveaux termes. De plus, la disponibilité de mon réviseur m'a permis de me départir de tous les doutes quant au choix de mes concepts. De même, le fait que mon frère travaille activement dans le milieu de la construction m'a permis de me sentir à l'aise dans ce milieu d'hommes, sans craindre de gêner ou de paraître envahissante.
Suites à toutes ces recherches, il m'a paru nécessaire de dresser une arborescence principale. Ainsi sont nées les quatre parties essentielles de ce projet : les bois indigènes, les bois exotiques et les dérivés. Mais surtout, le travail de nomenclature a été important car il m'a permis de situer mon objectif. Je me suis donc attachée à me répéter régulièrement : Pourquoi faire ce travail ? Dans quel objectif ? Que va t il m' apporter ? J'ai choisi ce thème en me situant dans la problématique suivante : les définitions de mon glossaire doivent permettre au traducteur spécialisé dans la construction de choisir le bon concept, et de savoir pourquoi il opte celui-là et non pour un autre.


Abréviations spécifiques


L'idée de constituer un glossaire terminologique portant sur les bois de construction m'est venue en discutant avec mon frère. En effet, il arrive lors de certaines de nos conversations relatives à son travail, que je ne comprenne pas tous ses propos dans la mesure où il emploie parfois un vocabulaire particulier, technique, presque incompréhensible pour le néophyte. De plus, j'en suis à un stade de mes études où il devient indispensable de me décider quand au domaine de traduction dans lequel je souhaite me spécialiser. Ainsi celui de l'architecture me semble très envisageable. D'ailleurs, j'ai pu apprendre au cours des derniers mois que le secteur du bâtiment cherche des traducteurs dans la mesure où, l'Europe se construisant, plus aucun pays ne peut se permettre de travaille seul. Pour me familiariser davantage avec ce vocabulaire, j'ai eu la chance de passer une journée dans les bureaux de l'entreprise 3D Design. J'ai aussi eu la possibilité de suivre quelques chantiers.
Le bois est la matière ligneuse et compacte qui compose les branches, le tronc et les racines des arbres et des arbrisseaux. C'est un ensemble de tissus composés de fibres ligneuses, de parenchyme et de vaisseaux. Pour compléter cette définition, la norme NF B 50-003 définit le bois comme un "ensemble de tissus résistants secondaires (de soutien, de conduction, et de mise en réserve) qui forment les troncs, branches et racines des plantes ligneuses. Issu du fonctionnement du cambium périphérique, il est situé entre celui-ci et la moelle. Ne s'applique pas aux monocotylédones (bambous, palmiers, rotins)".
Le bois est un matériau que les industries de première transformation modifient et amènent sous de multiples formes: bois sciés, lamellés collés, panneaux, pièces aboutées, ...Comme matériau, le bois s'emploie soit directement comme matière première - par exemple pour la fabrication d'éléments de menuiserie, de meubles, d'emballages - soit pour la réalisation de matériaux dérivés tels que les panneaux de particules et contreplaqués. La grande variété des bois, de propriétés et d'aspects différents, permet de nombreuses utilisations dans de multiples répertoires de l'environnement humain.
En menant cette étude, j'ai donc décidé de m'attarder sur 72 concepts essentiels. Il a été difficile de se limiter en quantité dans la mesure où chaque nouveau terme en génère souvent un autre, soit parce qu'ils sont liés dans leur fonction, soit parce qu'il s'agit de termes appartenant à un sous-domaine d'un concept donné. Mon point de départ a été ce petit nombre de mots que j'ai vu revenir dans le discours des professionnels. Et c'est à partir de ces notions que j'ai étoffé mon travail, y ajoutant sans cesse de nouveaux termes. De plus, la disponibilité de mon réviseur m'a permis de me départir de tous les doutes quant au choix de mes concepts. De même, le fait que mon frère travaille activement dans le milieu de la construction m'a permis de me sentir à l'aise dans ce milieu d'hommes, sans craindre de gêner ou de paraître envahissante.
Suites à toutes ces recherches, il m'a paru nécessaire de dresser une arborescence principale. Ainsi sont nées les quatre parties essentielles de ce projet : les bois indigènes, les bois exotiques et les dérivés. Mais surtout, le travail de nomenclature a été important car il m'a permis de situer mon objectif. Je me suis donc attachée à me répéter régulièrement : Pourquoi faire ce travail ? Dans quel objectif ? Que va t il m' apporter ? J'ai choisi ce thème en me situant dans la problématique suivante : les définitions de mon glossaire doivent permettre au traducteur spécialisé dans la construction de choisir le bon concept, et de savoir pourquoi il opte celui-là et non pour un autre.


BIBLIOGRAPHIE


L'idée de constituer un glossaire terminologique portant sur les bois de construction m'est venue en discutant avec mon frère. En effet, il arrive lors de certaines de nos conversations relatives à son travail, que je ne comprenne pas tous ses propos dans la mesure où il emploie parfois un vocabulaire particulier, technique, presque incompréhensible pour le néophyte. De plus, j'en suis à un stade de mes études où il devient indispensable de me décider quand au domaine de traduction dans lequel je souhaite me spécialiser. Ainsi celui de l'architecture me semble très envisageable. D'ailleurs, j'ai pu apprendre au cours des derniers mois que le secteur du bâtiment cherche des traducteurs dans la mesure où, l'Europe se construisant, plus aucun pays ne peut se permettre de travaille seul. Pour me familiariser davantage avec ce vocabulaire, j'ai eu la chance de passer une journée dans les bureaux de l'entreprise 3D Design. J'ai aussi eu la possibilité de suivre quelques chantiers.
Le bois est la matière ligneuse et compacte qui compose les branches, le tronc et les racines des arbres et des arbrisseaux. C'est un ensemble de tissus composés de fibres ligneuses, de parenchyme et de vaisseaux. Pour compléter cette définition, la norme NF B 50-003 définit le bois comme un "ensemble de tissus résistants secondaires (de soutien, de conduction, et de mise en réserve) qui forment les troncs, branches et racines des plantes ligneuses. Issu du fonctionnement du cambium périphérique, il est situé entre celui-ci et la moelle. Ne s'applique pas aux monocotylédones (bambous, palmiers, rotins)".
Le bois est un matériau que les industries de première transformation modifient et amènent sous de multiples formes: bois sciés, lamellés collés, panneaux, pièces aboutées, ...Comme matériau, le bois s'emploie soit directement comme matière première - par exemple pour la fabrication d'éléments de menuiserie, de meubles, d'emballages - soit pour la réalisation de matériaux dérivés tels que les panneaux de particules et contreplaqués. La grande variété des bois, de propriétés et d'aspects différents, permet de nombreuses utilisations dans de multiples répertoires de l'environnement humain.
En menant cette étude, j'ai donc décidé de m'attarder sur 72 concepts essentiels. Il a été difficile de se limiter en quantité dans la mesure où chaque nouveau terme en génère souvent un autre, soit parce qu'ils sont liés dans leur fonction, soit parce qu'il s'agit de termes appartenant à un sous-domaine d'un concept donné. Mon point de départ a été ce petit nombre de mots que j'ai vu revenir dans le discours des professionnels. Et c'est à partir de ces notions que j'ai étoffé mon travail, y ajoutant sans cesse de nouveaux termes. De plus, la disponibilité de mon réviseur m'a permis de me départir de tous les doutes quant au choix de mes concepts. De même, le fait que mon frère travaille activement dans le milieu de la construction m'a permis de me sentir à l'aise dans ce milieu d'hommes, sans craindre de gêner ou de paraître envahissante.
Suites à toutes ces recherches, il m'a paru nécessaire de dresser une arborescence principale. Ainsi sont nées les quatre parties essentielles de ce projet : les bois indigènes, les bois exotiques et les dérivés. Mais surtout, le travail de nomenclature a été important car il m'a permis de situer mon objectif. Je me suis donc attachée à me répéter régulièrement : Pourquoi faire ce travail ? Dans quel objectif ? Que va t il m' apporter ? J'ai choisi ce thème en me situant dans la problématique suivante : les définitions de mon glossaire doivent permettre au traducteur spécialisé dans la construction de choisir le bon concept, et de savoir pourquoi il opte celui-là et non pour un autre.

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